L'école néoclassique est une synthèse de l'école classique (car elle retient l'approche scientifique) et de l'école des RH.
Elle se développe à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette école est à la fois empirique (= elle conceptualise des théories à partir de réflexion et d'expériences terrains. Ces auteurs sont souvent des praticiens et/ou dirigeants d'entreprise) ; et pragmatique (= elle cherche à dégager des règles simples et efficaces et des principes normatifs applicables à toutes les organisations) (...)
[...] Il va mettre en place la décentralisation coordonnée. L'objectif était d'améliorer la coordination des différentes divisions composant General Motor. Il appliqua sa théorie par étapes d'essais erreurs successives et réussit au fil du temps à appliquer son principe de décentralisation. On distingue 6 principes de la décentralisation coordonnée : - autonomie laissée aux divisions : rentabilité du capital investie par la direction permet de juger les divisions - coordination par des comités auxquels participent tous les services même ceux sans responsabilité directe - uniformisation des méthodes de calcul et des outils de gestion avec néanmoins une centralisation des décisions financières de la comptabilité et de la trésorerie - centralisation de certaines fonctions stratégiques (fonctions de finance ou fonction juridique) - la direction générale ne doit pas s'occuper d'exploitation mais de politique générale - l'organigramme du groupe doit prévoir des passerelles afin que chaque division soit représentée de manière consultative dans les autres divisions Les services centraux de General Motors ne représentaient plus que du coût de l'entreprise grâce à ces principes. [...]
[...] Théorie des organisations L'école néo classique (ou empirique) L'école néoclassique est une synthèse de l'école classique (car elle retient l'approche scientifique) et de l'école des RH. Elle se développe à la fin de la seconde guerre mondiale. Cette école est à la fois empirique elle conceptualise des théories à partir de réflexion et d'expériences terrains. Ces auteurs sont souvent des praticiens et/ou dirigeants d'entreprise) et pragmatique elle cherche à dégager des règles simples et efficaces et des principes normatifs applicables à toutes les organisations). [...]
[...] Cette organisation répond à la nécessité d'être organisée par fonction - l'organisation par équipe permanente ou non permanente : très souple, elle convient parfaitement à l'innovation deux types d'organisation fondée sur les résultats : - l'organisation décentralisée fédérative : elle repose sur la décentralisation des activités de l'entreprise en activités autonomes - l'organisation décentralisée simulée : elle est totalement décentralisée et chaque unité dispose d'un grand pouvoir d'autonomie L'organisation par systèmes : souple, adaptable, peu clair, instable C'est l'organisation de la NASA. Toutes ces propositions de Slown et Drucker ont eu une influence considérable sur le développement des entreprises occidentales des années 70. Critiques de ces théories : Cette école est fortement marquée par la culture et la morale américaine. La majeure partie des multinationales est fondée sur le principe d'autonomie. [...]
[...] Retenons que la décentralisation développe l'initiative, la responsabilité et la flexibilité. Drucker Il a abordé toutes les grandes questions économiques, sociales et politiques de l'époque. Les entreprises reposaient sur 6 principes à l'époque : l'OST, la décentralisation, le management du personnel pour adapter l'homme et les structures, la formation des managers, le marketing de masse et la planification à long terme. Sont apparus de nouveaux besoins : l'innovation, la maitrise du changement de l'organisation, la responsabilité sociale de l'entreprise. Ces éléments ne doivent pas être considérés comme des contraintes mais comme des objectifs à atteindre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture