La structure de la décision
C'est en fonction de leur complexité qu'on distingue :
- Les décisions programmables : elles permettent d'instaurer des procédures automatiques de traitement. Ce sont les décisions de routine ;
- Les décisions non programmables : elles prennent en compte des facteurs nombreux et parfois difficile évaluer. Elles sont prises au cas par cas (...)
[...] Ce sont les décisions de routine ; Les décisions non programmables : elles prennent en compte des facteurs nombreux et parfois difficile à évaluer. Elles sont prises au cas par cas. La décision résulte de plusieurs variables Une décision se prend à plusieurs c'est ce qu'in appelle une décision collégiale. Les variables organisationnelles sont liées à la taille de l'organisation et aux procédures de traitement de l'information. Les variables de performance nous rappellent que toute décision est prise sous contrainte de rentabilité. Les variables stratégiques : toute décision prise doit être cohérente avec la stratégie d'entreprise. [...]
[...] II) L'exercice du pouvoir Les modes d'exercice du pouvoir On distingue diverses formes d'exercice du pouvoir en fonction du degré d'autonomie accordé aux salariés. Les diverses formes de pouvoirs : La centralisation : les pouvoirs sont concentrés entre les mains d'un petit nombre d'individus. L'avantage est la cohésion des décisions et c'est un mode d'organisation simple et efficace. La centralisation des pouvoirs devient vite démotivante dans les structures de grandes tailles car les salariés s'y trouvent déresponsabilisés ; La décentralisation : système qui permet de répartir le pouvoir entre plusieurs personnes, il s'agit de donner des responsabilités à plusieurs niveaux hiérarchiques. [...]
[...] C'est un pouvoir peu partager et souvent exercé de manière arbitraire ; Le pouvoir bureaucratique : ce pouvoir est fondé sur le texte et il est souvent distribué suivant un ordre rationnel. Les administrations publiques fonctionnent ainsi mais aussi certaines grandes entreprises privées ou publiques. On applique des textes objectivement ; Le pouvoir coopératif qui concerne les jeunes entreprises. Participation de chacun à la décision ; Le pouvoir technologiques qui est fondé sur le savoir, pouvoir détenu par les experts. Décision toujours justifiée et le plus scientifiquement possible. [...]
[...] Vers un nouveau partage du pouvoir dans l'entreprise Aucun mode d'exercice du pouvoir est idéal quelque soir l'entreprises on assiste à un recul des rapports hiérarchiques. Le nouveau partage du pouvoir est encouragé par les intranets. De plus, la réactivité attendu des entreprises modernes n'est plus compatible avec un fonctionnement autoritaire. L'entreprise à besoin d'acteurs impliqués. Les hauts managers se savent désormais sous le contrôle des marchés financiers. [...]
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