Animation de réunion, 12 Hommes en colère, Sidnay Lumet, 1957, changement d'avis, vote
Premier plan, la salle d'audience du tribunal de New York. Le film s'ouvre sur la fin des débats d'un procès concernant un parricide. Suspecté d'avoir poignardé son père à l'aide d'un couteau à cran d'arrêt, l'accusé est un jeune hispano-américain de 18 ans issu des quartiers défavorisés. S'il est reconnu coupable, il sera puni de la peine de mort. Le sort du jeune homme se joue à présent dans les mains de 12 individus ordinaires, manifestement simples et honnêtes. Les jurés sont réunis et enfermés dans la salle de délibération afin de donner une décision unanime quant à son sort.
[...] Donc à ce moment nous en sommes à 8 mains pour l'accuser et donc 4 à le disculper. Henri fonda remet le doute de nouveau dans la salle, et le monsieur à lunettes chauve, exprime ses doutes par rapport aux capacités physiques de l'enfant à pouvoir tuer son père. En effet, la différence de taille est importante, et le fait de poignarder son père s'avérer difficile. Excédé par ses propos, service rapide se lève, saisit le couteau, et démontre qu'il est possible d'assassiner un homme malgré ses 20cm de plus. [...]
[...] Ce bruit est du au mécontentement des autres jurés préférant en rester là sur cette affaire. Le président demande à tout le monde de se calmer et de venir s'assoir autour de la table. Henri fonda réfute le témoignage du voisin en démontrant que pour lui il était impossible de pouvoir entendre le bruit du corps tomber sur le sol étant donné que à cet instant, un métro passait à quelques mètres. De plus, il met en garde l'audience sur l'importance de cette décision étant donné que le suspect risque la peine de mort. [...]
[...] Animation de réunion 12 Hommes en colère Premier plan, la salle d'audience du tribunal de New York. Le film s'ouvre sur la fin des débats d'un procès concernant un parricide. Suspecté d'avoir poignardé son père à l'aide d'un couteau à cran d'arrêt, l'accusé est un jeune hispano-américain de 18 ans issu des quartiers défavorisés. S'il est reconnu coupable, il sera puni de la peine de mort. Le sort du jeune homme se joue à présent dans les mains de 12 individus ordinaires, manifestement simples et honnêtes. [...]
[...] Tout le monde revient autour de la table. Le boxeur prend la parole, résume l'ensemble des éléments de l'enquête lors de cette soirée et invite les jurés à refaire un vote. Les faits résumés qui mettent le doute dans la culpabilité du garçon sont : la facilité pour retrouver le couteau, et là Henri sort le même couteau qui peut se trouver en plusieurs exemplaire chez les commerçants du quartier pour seulement 6 dollars. Cette fois, celui qui transpire transforme son vote en non coupable. [...]
[...] Conscient de l'importance du verdict, il entreprend de mener une véritable contre-enquête, d'analyser de manière plus précise chacune des charges pesant sur le jeune accusé dans l'espoir de l'acquitter. Il propose aux jurés de se mettre dans la peau de l'accusé et entend leur faire reconnaitre qu'il est impensable de condamner à mort un si jeune homme en ne s'en tenant qu'aux faits. Suite à l'audience, les onze jurés sont quasi unanimes : le jeune homme ayant comparu sous leurs yeux quelques heures auparavant est coupable. Il se doit de payer pour le meurtre de son père. En effet, toutes les charges menées contre lui sont véritablement incontestables. [...]
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