L'auteur décide de partir d'une question et non d'une définition. Cette question est, en fait, la problématique à laquelle il va tenter de répondre : comment expliquer les comportements des groupes et/ou des individus au sein des organisations ? Peut-on trouver et définir une logique de ces comportements ?
Une configuration est un système où l'étude des interrelations est plus importante que l'attachement à une seule variable expliquant les autres. Elle provient d'un besoin de l'organisation ou d'un besoin des chercheurs. Elle permet aussi d'atteindre une cohérence dans les caractéristiques des organisations, qui changent au coup par coup, configuration après configuration.
En fonction du type d'organisation, une partie de l'organisation aura plus de pouvoir que l'autre.
Il y a, en fait, sept configurations de base. Actuellement, on se dirige de plus en plus vers le "getting it all together", ce qui correspond aux sept configurations suivantes :
La configuration centralisée ou entrepreneuriale : le sommet stratégique contrôle la prise de décision.
La configuration mécaniste : elle est très élaborée hiérarchiquement. La technostructure favorise la rationalisation par la standardisation.
La configuration divisionnalisée : les managers exercent une force en faveur de la balkanisation de la structure. Il y a alors formation d'unités.
La configuration professionnelle : le centre opérationnel exerce une poussée vers le professionnalisme, pour affaiblir la hiérarchie.
La configuration innovatrice : lorsque la logistique pousse vers la collaboration, l'organisation devient alors une configuration innovatrice.
La configuration missionnaire : elle apparaît, quand tous les membres de l'organisation marchent ensemble.
La configuration politisée : elle est présente, lorsque chacun va de son coté.
[...] La configuration divisionnalisée : les managers exercent une force en faveur de la balkanisation de la structure. Il y a alors formation d'unités. La configuration professionnelle : le centre opérationnel exerce une poussée vers le professionnalisme, pour affaiblir la hiérarchie. La configuration innovatrice : lorsque la logistique pousse vers la collaboration, l'organisation devient alors une configuration innovatrice. La configuration missionnaire : elle apparaît, quand tous les membres de l'organisation marchent ensemble. La configuration politisée : elle est présente, lorsque chacun va de son coté. [...]
[...] Un des moyens de renforcer la cohésion du groupe, d'insister sur le lien libidinal en empêchant l'agressivité de s'exprimer entre les membres du groupe, est de détourner cette agressivité vers l'extérieur. L'organisation idéale : La présence d'une figure d'autorité telle que celle du père, créateur mais aussi dominateur et castrateur est une condition d'existence de la communauté. Le lien social doit donc occuper la place la plus importante dans les organisations. L'organisation et ses névroses : La névrose est une incapacité à vivre en communauté. Selon les hypothèses de Bion, le groupe de travail est influencé par des sentiments inconscients. [...]
[...] Les cultures d'entreprise cherchent aussi à résoudre les problèmes concrets de l'entreprise et définissent, de plus, l'identité du groupe - Identité et changement : Identité, conflit et communauté : L'identité est ce par quoi l'individu se définit socialement. Un individu appartient à plusieurs groupes sociaux (famille, profession, religion, parti politique Les identités collectives sont fondées, d'après Renaud Sainsaulieu, sur le fait que les individus ont commun une même logique d'acteurs. En effet, l'identité de groupe se traduit par des comportements concrets dans l'organisation. [...]
[...] Les composants du système sont : L'acteur et le système : Ce sont bien des acteurs, relativement libres et autonomes, qui créent le système. Ils le font fonctionner à travers un réseau de relations où ils prennent des décisions, afin de résoudre des problèmes concrets de la vie de l'organisation. La théorie générale des systèmes : Il existe une différence dans la finalité des réactions par rapport aux changements entre système (équilibre : idéal implicitement visé) et organisme (équilibre fixe), même si tous deux reposent sur des concepts d'interdépendance et de totalité. [...]
[...] Il existe une liaison entre des réactions psychologiques individuelles et une structure sociale. Un aspect important est l'usage de la théorie des besoins dans la théorie économique et dans la perspective humaniste. La théorie économique connaît les besoins à travers la demande sociale, ce qui lui permet de prévoir les comportements des consommateurs, mais pas celui des producteurs. La perspective humaniste utilise la théorie des besoins dans une approche philosophique de l'homme en société, mais n'explique pas son organisation. Chapitre 4 : Participation et intégration : Deux questions fondamentales se posent : comment surmonter le fait qu'individu et groupe résistent au changement, et comment intégrer les groupes informels dans les organisations ? [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture