"Le principe moteur de l'excellence", Marcus Buckingham

Résumé du document

L'ouvrage ''Le principe moteur de l'excellence" met en avant les enseignements fondamentaux concernant le rendement, la gestion, la maîtrise ou encore le leadership, qui seront utiles dans tous milieux professionnels. L'œuvre se destine aux lecteurs suivant trois axes majeurs en matière d'excellence moteur: le domaine de la gestion, du leadership et de la réussite durable.

Le résumé de cet ouvrage est néanmoins un exercice difficile, car il est parsemé d'exemples, d'échanges avec l'auteur, de moments de réflexion, ou encore d'identification. C'est donc pour cette raison que ma synthèse consistera à développer chaque thème suivant ses grands principes. Pour être un bon gestionnaire, il faut avant tout savoir endosser différents rôles, pour ainsi motiver, obtenir le meilleur de ses employés, se satisfaire de l'évolution de chacun et au final parvenir à des résultats excellents.

Extraits

[...] Dans le cadre du principe moteur de l'excellence pour la gestion, le gestionnaire doit avoir différentes qualités : être vigilant lorsqu'il embauche, repérer les talents cachés de l'intéressé et les développer, faire preuve d'empathie, définir une stratégie avec les employés comme il positionnerait les pièces d'un jeu d'échec pour obtenir le rendement et des résultats optimums. Parallèlement il doit faire des compliments pour encourager, faire preuve d'un grand sens relationnel. De plus il doit dégager la chaleur humaine poussant naturellement les employés à donner le meilleur d'eux même. En d'autres termes lorsque vous misez sur ce qu'il y a d'unique chez chaque personne, vous stimulez l'excellence individuelle. Et lorsque ces gens excellent, non seulement ils se distinguent mais sont parcourus d'une formidable fierté. Cela veut dire qu'ils ont une meilleure vision des choses. [...]

[...] Les sociologues et anthropologues du vingtième siècle se sont accordés sur le fait que le leadership se basait selon cinq peurs répondant à cinq besoins. Il est évident qu'aucun leader sans la confiance des gens ne pourrait exercer un quelconque pourvoir ou user d'une influence. Je vais donc tenter de décrire ces peurs et besoins qui sont relatifs au rôle de leader. La peur de la mort, le besoin de sécurité On constate que dans toutes sociétés il y a des rituels funèbres, des célébrations, des commémorations mortuaires. [...]

[...] L'auteur nous propose alors de méditer sur le contenu de son livre et nous présente son analyse. Ce croisement d'informations délimite la réalité de ces concepts et nous laisse entrevoir dans une lucarne une vision totalement nouvelle, en tout cas pour moi, sur une prochaine vie professionnelle. Tout d'abord pour approcher l'excellence en matière de gestion, l'auteur se met en scène comme narrateur, parfois même acteur de la réalité qui se déroule ou qui s'est déroulée. Il se base sur ses expériences mais aussi sur l'expérience de scientologues renommés comme Aubrey C Daniels. [...]

[...] En effet la première tâche qu'il incombe à un gestionnaire, afin de parvenir à l'excellence, est l'efficacité à choisir chaque employé. La meilleure des manières sera de poser des questions à chaque personne nouvellement engagée ce qui vous révélera ses forces , ses faiblesses, ses déclencheurs mais également écouter attentivement les réponses pour agir ensuite à partir des informations recueillies afin d'obtenir des résultats : Vous devez définir vos attentes en expliquant clairement les résultats que vous attendez, et motiver les gens en vous concentrant sur leurs points forts tout en contournant leurs faillites personnelles ou faiblesses (Référence : M.Buckingham). [...]

[...] Assurément ce n'est pas en tentant de devenir un leader exceptionnel comme l'a été Giuliani (maire de New York) lors des attentas du 11 septembre, ou plus récemment Obama, ou encore en tentant de devenir meilleur gestionnaire plus présent, plus vigilant, encourageant que l'on aille bouleverser la face du monde. Mais imaginez un instant que vous ayez la quasi-totalité des gens trouvant l'excellence, il y aurait risque de pénurie des ressources, le progrès irait trop vite pour notre planète. L'auteur est tout à fait conscient de cette réalité qui est flagrante pour les avertis mais peu évidente pour d'autres. [...]