Lusin Bagla est maître de conférences de sociologie à l'université d'Orléans. Elle a
notamment enseigné la sociologie des organisations à des étudiants en AES, en
psychologie, en médecine et en sciences. Elle est membre du laboratoire orléanais
de gestion (LOG).
Le livre est édité en 2003 aux Editions la Découverte. Sociologie des Organisations est composée de 6 chapitres : les trois premiers
chapitres présentent « l'évolution des stratégies managériales et des formes
d'organisations des activités » (approche descriptive) et les 3 derniers décrivent les
« approches critiques des sociologues » sur l'Histoire des différentes organisations
(approche explicative). L'oeuvre est une démarche scientifique, un objet d'analyse
futur concernant les processus et les phénomènes organisationnels. Par ailleurs,
l'auteur illustre ces propos avec de nombreux exemples.
[...] Fiche de lecture: sociologie des organisations, de Lusin Bagla Fiche de lecture : Sociologie des Organisations Auteur : Lusin Bagla est maître de conférences de sociologie à l'université d'Orléans. Elle a notamment enseigné la sociologie des organisations à des étudiants en AES, en psychologie, en médecine et en sciences. Elle est membre du laboratoire orléanais de gestion (LOG). Le livre est édité en 2003 aux Editions la Découverte. Concepts clés : Taylorisme : méthode de travail qui tire son nom de l'ingénieur américain Frederick Winslow Taylor (1856-1915). [...]
[...] Très vite, tous les pays développés sont convaincus par le modèle, aux Etats Unis, les classes moyennes se retrouvent renforcées, même Lénine y voit un moyen de transformer sa main d'œuvre paysanne et ouvriers. En France, Fayol décrit l'absence de marché de masse ainsi qu'une réticence à formaliser les secrets de fabrication artisanale. Seulement, la première guerre mondiale et la nécessité pour les femmes de remplacer les hommes partis au front neutraliseront les réticences des syndicats. Quant à l'organisation bureaucratique du travail met en place des organisations pyramidales qui délimitent les fonctions et taches de chacun. [...]
[...] Elle développe cependant peu le Fayolisme. Ce livre fait la synthèse des formes d'organisations existantes, l'étude prend notamment en compte les nouvelles formes d'organisations. L'œuvre peut à la fois être utilisée par les managers que par les universitaires. Enfin, il invite à la question : quelles seront les nouvelles formes d'organisation dans le futur ? [...]
[...] Le but est d'organiser une routine organisationnelle. D'autre part, les entreprises internalisent au plus possible : faire coute moins cher que faire faire Parallèlement, le salariat devient la classe dominante. Ainsi le fordisme se développe et crée un marché de masse : augmentation de la rémunération des salariés et utilisation du Taylorisme. Ingénieur, et comptable sont des métiers qui se développent et deviennent des éléments moteurs de ce système. Enfin, c'est le début des études de la théorie de la relation humaine (Mayo). [...]
[...] "La culture caractérise l'entreprise et la distingue des autres, dans son apparence et, surtout, dans ses façons de réagir aux situations courantes de la vie de l'entreprise comme traiter avec un marché, définir son standard d'efficacité ou traiter des problèmes de personnel." Sources : Wikipédia Etude de l'œuvre : Sociologie des Organisations est composée de 6 chapitres : les trois premiers chapitres présentent l'évolution des stratégies managériales et des formes d'organisations des activités (approche descriptive) et les 3 derniers décrivent les approches critiques des sociologues sur l'Histoire des différentes organisations (approche explicative). L'œuvre est une démarche scientifique, un objet d'analyse futur concernant les processus et les phénomènes organisationnels. Par ailleurs, l'auteur illustre ces propos avec de nombreux exemples. Le premier chapitre présente les premières organisations pré-taylorienne Il ne présente pas les organisations artisanales et commence sa présentation au XVIIIème siècle : celui des lumières. C'est avec le début du capitaliste, de l'industrialisation, de la démocratie que les organisations modernes apparaissent. Grâce aux philosophes des lumières, de nouvelles idées se développent. [...]
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