La responsabilité sociale des entreprises et le développement durable ont envahi, depuis les cinq dernières années, le champ médiatique : fonds éthiques, agences de notation sociétale, commerce équitable, codes de conduite éthique, rapports de développement durable…
Dès le milieu des années 1990 l'entreprise a été confrontée à de nouveaux interlocuteurs : les ONG. Ces associations environnementales, humanitaires, des droits de l'homme ont pris les multinationales pour cibles. Ces firmes multinationales, attaquées dans les médias, parfois boycottées par les consommateurs, surveillées par les investisseurs, doivent mettre en place des politiques de responsabilité sociale et de développement durable : recherche de processus de fabrication plus écologiques ; meilleure gestion des ressources humaines pour éviter les plans sociaux, ou du moins leurs conséquences ; audits chez les sous traitants pour s'assurer que les normes internationales du travail sont respectées ; une plus grande transparence par la publication de rapports sociaux et environnementaux.
Dans le contexte de la mondialisation, les auteurs analysent ce qu'il convient d'appeler la « nouvelle révolution managériale ».
[...] Il s'agirait surtout de personnes de plus de 50 ans ou revenant de congés maladie. Ces critères d'évaluation très subjectifs cacheraient un plan social déguisé, la direction ayant donné des quotas de salariés à noter 4 aux managers. Le paradoxe de cette affaire, c'est qu'IBM se veut une entreprise à la pointe de la responsabilité sociale Les droits humains 6.1 Le respect des droits sociaux et économiques Selon une étude IPSOS sur le commerce équitable, le travail des enfants est la première préoccupation des consommateurs (41 dans leur volonté de voir un commerce plus équitable se mettre en place entre le Nord et le Sud. [...]
[...] L'Académie Accor est la première université d'entreprise créée en Europe, en 1985, dans le domaine des services. Sa mission consiste à accompagner les changements du groupe dans des domaines stratégiques (création de nouveaux métiers, apparition de nouvelles technologies, développement à l'international). L'institut de l'environnement urbain créé par Vivendi Environnement en 1994, était une nécessité pour le groupe dont les métiers (nettoyage industriel, ramassage des ordures, traitements des déchets, ) concernent surtout des ouvriers non qualifiés, voire des jeunes (apprentis) en situation précaire. [...]
[...] Elles disposent des ressources, de la capacité de gestion et la technologie. Il est demandé aux entreprises de faire des affaires, mais autrement : elles doivent être sensibles à l'environnement, à l'équilibre essentiel entre le développement et l'environnement Les messages du Business à Johannesburg Sur la gouvernance Les entreprises ont besoin d'un environnement réglementaire bien défini et respecté pour se développer. Le monde des affaires demande un cadre décisionnel clair, équitable et prévisible pour réaliser des investissements de LT, car les pays où la réglementation est laxiste présentent des risques pour les investisseurs. [...]
[...] En France, c'est Claude Bébéar, alors président d'Axa, qui a lancé le mouvement : il a créé l'Institut du Mécénat de Solidarité qui regroupe une centaine d'entreprises engagées dans ce type de mécénat et a créé Axa Atout Cœur une association qui regroupe les collaborateurs du groupe Axa qui veulent s'impliquer dans des actions de terrain et de proximité au profit d'association humanitaires Cause Related Marketing : marketing et bienfaisance Le marketing sociétal est devenu un courant porteur face à la montée en puissance du consumérisme social. Deux raisons essentielles à cela : Du côté des entreprises, la compétition est de plus en plus difficile. L'avantage produit n'est plus une protection. A peine une entreprise a-t-elle réalisé une avancée en termes de produit ou de service, qu'un compétiteur lance un produit ou service équivalent Du côté des consommateurs, on assiste à un changement des valeurs avec la montée en puissance des préoccupations éthiques, humanistes, ce qui implique de donner du sens à son acte d'achat. [...]
[...] L'ampleur de la restructuration, qui devait toucher de à salariés dans le monde, a provoqué l'émoi. Le secteur suit les traces de l'informatique ou de l'électronique grand public, qui se déchargent de l'essentiel de la fabrication auprès de sous- traitants. Les équipementiers souhaitent accroître la part de leur activité réalisée dans les services, où les marges sont plus confortables, et se défaire des activités manufacturières, à la rentabilité limitée. Ainsi, des spécialistes de la sous-traitance comme Solectron, Flextronics ou Celestica ont commencé à se développer grâce à des clients comme IBM, HP ou Cisco avant de s'intéresser aux équipements de télécommunications. [...]
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