entreprise, évolution, découvertes, innovation, mondialisation, entrepreneuriat
L'ouvrage de Michel DRANCOURT nous raconte l'histoire de l'entreprise. Nous y retrouvons les repères indispensables pour comprendre l'évolution des modes d'organisation grâce à une fresque précise de l'entreprise.
Dans sa nouvelle édition Michel DRANCOURT, après avoir retracé les étapes de la « lente gestation de l'entreprise », se penche sur ses évolutions récentes et les développements futurs qu'elles laissent envisager. De nombreux facteurs, en effet, ont changé les règles du jeu des firmes dont la mondialisation, et les NTIC.
Cet ouvrage nous permet de voyager à travers les siècles pour comprendre comment née une entreprise mais aussi comment elle évolue, comment elle fonctionne, comment elle s'adapte à son environnement… Il nous fait cerner
l'importance qu'ont les grandes découvertes, les innovations mais aussi et surtout des hommes qui la compose, qui la gère et la font vivre.
Ici donc, la problématique nous semble évidente à savoirs quels sont les différentes étapes de l'évolution de l'entreprise et de entrepreneuriat ?
Quels sont les différents événements majeurs et les divers facteurs, que ce soit environnemental, social, politique, économique, militaire mais aussi légal, qui ont marqué l'entreprise dans sa création, dans ses différents modes d'organisation et de gestion ?
Quels sont les éléments nécessaires à la survie
d'une entreprise ?
[...] Comparé aux allemands et aux américains, ils seront plus lents à accéder à l'industrie moderne. L'entreprise française : Le développement de l'entreprise français a été plus tardive que les autres (monarchie absolue puis guerres . ) La modernisation industrielle est accélérée par le changement technique. Les petites entreprises constituaient la masse des industries de consommation. Au niveau de management, les dirigeants sont plutôt des ingénieurs et ils préfèrent les activités qui sont liés à l'Etat. L'entreprise allemande : Les entreprises allemandes se sont très rapidement et fortement organisées. [...]
[...] Les chocs des techniques et du travail L'entrepreneur est au départ LE personnage clef. Par la suite le rôle des financiers s'amplifient ainsi que les banques et les clients ! Les salariés, ouvriers ont quitté leur monde d'artisans immuable pour être dans une société en mouvement et dans des entreprises où les règles sociales sont loin d'être définies. La formation n'est pas défini comme un facteur de productivité. La machine n'atteint pas les performances qu'elle a aujourd'hui. Il y a eu un choc de l'évolution technique et du travail et c'est ce qui est à l'origine de nombreux malaises sociaux. [...]
[...] L'OST de Taylor a favorisé la croissance de la production et de la consommation. Pourtant on l'a accusé d'avoir déshumanisé le travail. Son objectif était une dépense minimale d'efforts et de temps, grâce à l'idée de division du travail qui vise à spécialiser les fonctions et séparer les pouvoirs. Il a clairement réalisé son désir de séparation entre conception des tâches et leur exécution. Même si ses méthodes déclenchèrent des grèves et des mécontentements, Taylor est à la base de la révolution industrielle du XXème siècle. [...]
[...] Il y a 3 éléments favorables pour le développement de l'économie : l'ouverture de l'occident au monde, la théorie des cercles superposés et le basculement des centres économiques de l'Italie vers Anvers. L'émergence du capitalisme industriel se développe aux Pays-Bas suite à l'apparition de taxes à Anvers. Amsterdam prospère grâce à 3 facteurs : une meilleure gestion des ressources, l'essor de la recherche de développement et la circulation massive de l'information. On ne se contente plus de vendre ce que l'on a mais on élabore des stratégies commerciales. L'Angleterre aussi se développe - 1636 : Harvard - 1600 : Compagnie des Indes. [...]
[...] Les échanges exigent des efforts et des prises de risques dû à un environnement dangereux. On comprend donc pourquoi la banque et les assurances se développent à l'époque romaine : l'insécurité entraine la création de services qui pallient à celle ci. Il y avait déjà des collectes de dépôts, octrois du crédit . Même le taux d'intérêt était utilisé mais contesté par Aristote (L'argent doit rester stable et non multiplié). Les romains vivent beaucoup plus de l'agriculture que du commerce, de plus l'entreprise de production Romaine est étouffée par l'interventionnisme de l'état, nous étions en circuit fermé. [...]
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