Management Interculturel, Daimler-Chrysler, différences culturelles, différences organisationnelles, fusion, fusions-acquisitions internationales
La fusion entre le géant allemand Mercedes et le géant américain Chrysler a été un échec à cause des nombreuses différences aussi bien culturelles qu'organisationnelles auxquelles ils n'ont pas su palier.
[...] Une identité commune dans les filiales doit être crée ainsi qu'une culture d'entreprise. - Sentiment d'appartenance : créer un sentiment d'appartenance de la part des employés permet de les impliquer d'avantage dans leur travail et d'augmenter leur envie de travailler et réussir ensemble. - Barrière de la langue : il est possible de la dépasser notamment grâce à des formations interculturelles ou encore à des cours de langue en amont de la fusion et pendant. - Rapprocher physiquement les équipes : dans le cas, seulement une centaine de salariés a traversé l'atlantique ce qui a minimisé le facteur d'intégration. [...]
[...] L'organisation des usines a également changé, par exemple la classe A de Mercedes a nécessité une réorganisation des chaines de production et de montage. Question 2 : Listez les éléments présents dans le cas permettant un management interculturel réussi lors des fusions-acquisitions internationales Il est possible de relever plusieurs éléments permettant un management interculturel réussi lors des fusions acquisitions internationales : - Valeurs : ces dernières doivent être clairement définies par la maison mère et partagées par l'ensemble du groupe. [...]
[...] Question 1 : Quelles sont les différences culturelles et organisationnelles qui ont contribué à l'échec de la fusion de Mercedes-Benz et de Chrysler ? La fusion entre le géant allemand Mercedes et le géant américain Chrysler a été un échec à cause des nombreuses différences aussi bien culturelles qu'organisationnelles auxquelles ils n'ont pas su palier. Tout d'abord, sur le plan culturel, les styles de managements sont extrêmement différents : les managers américains ont généralement de nombreux pouvoirs dès lors que leurs objectifs sont atteints, tandis que les managers américains se basent sur des règles héritées de leur culture germanique (consensus, collégialité, partage des responsabilités, Le processus de prise de décision diffère également puisque les américains sont rapides dans leur prise de décision et ne se préoccupent pas d'échouer, tandis que les allemands réfléchissent longtemps à une idée viable et la mettent en place de façon à minimiser au maximum le risque d'échec. [...]
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