Gouvernance d'entreprise, corporate governance, Conseil d'Administration, entreprise, répartition des pouvoirs
3 formes d'entreprise au niveau structure du capital :
- familiale (lvmh, michelin)
- publique
- managériale (capital éclaté)
En Droit : actionnaires = mandants.
PDG révocable ad-nutum : n'importe quand, sans préavis. Donc subissent le dictaire des actionnaires, sont sous pression pour faire de la rentabilité. Doivent donc prendre des risques. Les entreprises sont alors vulnérables (parfois avec rentabilité à deux ou trois mois). Et peuvent faire faillite.
[...] Il n'y a pas de décisions individuelles. Deux familles d'administrateurs dans le CA : les internes : administrateurs qui ont une fonction managériale dans l'entreprise. Les externes : n'ont pas de fonctions. Le mode de gestion des SA : soit un Conseil de Surveillance et un Directoire, soit un Conseil d'Administration. Principe de base : séparation des pouvoirs : celui de contrôle d'une part, celui de gestion d'autre part. Deux systèmes pour cela : moliste à deux têtes d'une part, dual d'autre part. [...]
[...] C'est donc une entreprise familiale. Succès important malgré des difficultés initiales. Elle émet des actions publiques pour se financer. L'actionnariat se disperse (multiplié par seize). Le capital est très ouvert mais un membre de la famille reste à la tête de l'entreprise. Problème : Delorme, dirigeant, est reproché de s'être enrichi personnellement : absorption (à d'une société qu'a acquis à 49% la famille Delorme sans informer le CA ou l'AG. Deuxième problème : conflit d'intérêt (entre étant actionnaire et étant dirigeant). [...]
[...] La gouvernance c'est la bonne répartition des pouvoirs. Il n'y a pas que les actionnaires (shareholders), il y a toutes les parties prenantes (stakeholders) comme les employés, les fournisseurs L'entreprise peut être vue comme un ensemble de contrats (avec les clients, fournisseurs, actionnaires, employés, Mais chacune des parties prenantes n'ont pas le même intérêt conflit d'intérêt qui peut amener à une destruction de valeur. La gouvernance ne sert pas à converge les intérêts (pas possible) mais de faire en sorte qu'il y ait un intérêt commun (tous gagnants) : l'intérêt social. [...]
[...] Multiplie ses filiales et les créations d'entreprises (notamment sur les territoires offrant des facilités fiscales) employés, CA en 2002 : 7,6 milliards d'euros. L'action de Parmalat est l'une des valeurs sûres de la bourse de Milan : doutes sur un investissement de 500 millions d'euros. Standard & Poors abaisse la note de l'entreprise. Doutes sur la manière de rembourser des dettes. L'action en bourse baisse. L'inquiétude gagne les créanciers et les détenteurs d'actions. La direction veut rassurer : elle montre l'existence d'une cagnotte de 4 milliards d'euros aux iles Caiman (avec attestation de fonds). [...]
[...] Gouvernance d'entreprise (corporate governance). Mécanismes, relations pour gérer formes d'entreprise au niveau structure du capital : - familiale (lvmh, michelin) - publique - managériale (capital éclaté) En Droit : actionnaires = mandants. PDG révocable ad-nutum : n'importe quand, sans préavis. Donc subissent le dictaire des actionnaires, sont sous pression pour faire de la rentabilité. Doivent donc prendre des risques. Les entreprises sont alors vulnérables (parfois avec rentabilité à deux ou trois mois). Et peuvent faire faillite. ! mise en place de la gouvernance : système par lequel une entreprise est gérée et contrôlée dans l'objectif d'assurer une création de valeur durable et partenariale (éviter le court-terme). [...]
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