Au cours de ces dernières années, l'augmentation des risques dans les activités des organisations ont mis en évidence la nécessité de disposer d'outils de pilotage et de contrôle de plus en plus efficaces, la conduite des affaires impose désormais une véritable culture de contrôle diffusée aussi bien dans les fonctions administratives que dans les fonctions opérationnelles de l'entité.
[...] Le choix de la période de planification. Des problèmes liés à la motivation. Des standards qui ne peuvent pas être atteint la planification des actions Le contrôle des performances et un paramètre d conception essentielle dans les structures par le marché. Deux points doivent être notés à propos de la planification des actions : A la différence de contrôle des performances, elle ne respecte pas nécessairement l'autonomie de l'unité, ni le découpage de l'organisation en unités. En second lieu, la planification puisqu'il spécifié les décision à, prendre va au delà d'une simple standardisation des résultats, et de celle des processus de travail, que l'on peut situer sur un continuum qui va des régulations les moins strictes à celle qui sont les plus précises : le contrôle des performances impose des standards pour une période donnée sans faire référence aux actions à prendre. [...]
[...] Là décentralisation des responsabilités et des décisions ; L'élargissement de l'éventail de subordination : La direction par objectifs : L'entreprise étant divisée en centres autonomes de gestion, il convient d'assurer cette autonomie, en laissant libres les responsables de toutes les décisions qui relèvent de leur compétence ; Le contrôle par exception et le principe dit d'autocontrôler des unités autonomes ; La motivation par la compétitivité, en sachant que les principales motivations qui poussent l'homme à améliorer son travail sont. D'une part. l'intérêt qu'il lui porte et. D'autre part. le désir d'étendre sans cesse le champ de ses responsabilités. La théorie néoclassique a contribué à développer de nouvelles structures telles que la D .P.O. (DIRECTION par Objectifs) et les motivations par le travail et l'ambition. Influence de la théorie néoclassique sur le contrôle de gestion: Favorisant à la fois l'efficacité individuelle. [...]
[...] Les dysfonctionnements Même les systèmes de contrôle bien conçus peuvent faire l'objet de dysfonctionnements, par exemple lorsque les collaborateurs interprètent les instructions de manière erronée, cèdent à la routine et ne sont plus attentifs aux erreurs. Une enquête sur des anomalies diverses peut ne pas être poursuivie assez loin ou une personne remplissant des fonctions en remplacement d'une autre (maladie, vacances) peut ne pas s'acquitter convenablement de sa tâche. Le système de contrôle constate également souvent que des changements dans les systèmes sont introduits avant que le personnel n'ait reçu la formation nécessaire pour réagir correctement. [...]
[...] La réponse affirmative ne nécessite pas de commentaire puisque le contrôle, au sens organisationnel, n'est pas interdit. De plus, le contrôle en général, et le contrôle de gestion en particulier sont un outil, source de conseil et de suivi des réalisations permettant d'assurer la pérennité de l'entreprise. La théorie néoclassique et le contrôle de gestion Constituée sous TAYLOR et FAYOL d'un ensemble de principes pratiques et accessibles à n'importe quel chef d'entreprise, la science de l'organisation devient avec CYERT, SIMON et d'autres, une discipline hautement formalisée et universitaire, et difficile- ment accessible au profane. [...]
[...] Les phases principales de ce processus sont : fixation des standards, mesure et communication des résultats et, le cas échéant, les actions correctives. Il s'agit aussi d'un processus qui requiert un certain environnement pour l'exercice de cette activité et la réalisation des effets escomptés. On a pu distinguer globalement d'importants courants de pensée d'inspirations différentes et complémentaires, il s'agit de : La théorie classique dominée par les recherches de favol et de TAYLOR : La théorie béhavioriste (théorie des relations humaines ou théorie du comportement) ; La théorie psychosociologique qui s'intéresse à acteur (l'individu) et l'entreprise ; la théorie néoclassique qui prend en compte à la fois la nécessité de procédures clairement définies et la nécessité de s'intéresser aux facteurs de motivations des individus ; La théorie de la contingence qui s'intéresse particulièrement aux facteurs qui influencent les structures des entreprises et les conditions de leur efficacité la théorie générale des systèmes qui est un mouvement né de la cybernétique. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture