La théorie des organisations est une branche de l'économie qui analyse la totalité des arrangements institutionnels permettant la mise en place de la production et de l'échange de biens et services. Dans un sens plus restreint, la théorie des organisations consiste dans l'étude de l'organisation comme entité spécifique. Elle aura pour but d'analyser le fonctionnement des organisations, leur structure et leur développement.
[...] Concernant l'aspect social et organisationnel, il va s'agir de la manière dont sont véhiculées les valeurs et les croyances dominantes dans l'organisation. La crédibilité de ce processus reposera ici sur les concepts de communication et d'interaction. Enfin, l'aspect politique concerne les concepts de pouvoir et d'influence qui doivent être au cœur de toute compréhension du changement stratégique. Souvent, les possibilités et les limites du changement prennent leur origine dans les luttes de pouvoir entre les différents groupes en place dans et autour de l'organisation. [...]
[...] Selon cette perspective, la culture constitue, en quelques sorte, le ciment de l'organisation et en conditionne le bon fonctionnement. La perspective de la différenciation suppose quand à elle que la culture est un ensemble de sous culture. Une sous culture est un sous ensemble de membres d'une organisation qui interagissent régulièrement les uns avec les autres, qui s'identifient comme un groupe distinct au sein de l'organisation, qui partagent un ensemble de problèmes définis en commun comme étant les problèmes de tous et qui prennent régulièrement des mesures sur la base des compréhensions collectives uniques au groupe. [...]
[...] De plus, pour le transport de se production et de ses matières premières, une unité travaille à la conception des solutions de transport durables par le rail et par la mer. Le rôle de la culture dans le management de l'entité est ici non négligeable et il ne s'agit que d'un point pris au hasard. L'introduction de la culture de la performance au sein de la Police Nationale est aussi un exemple frappant. Effectivement, en 2002, l'obligation d'efficacité a introduit des nouveautés dans la manière de travailler. [...]
[...] Ensuite, la théorie des organisations a vue s'imposer d'autres concepts comme l'analyse symbolique. Cette analyse renvoie à la dimension subjective, c'est-à-dire à la manière dont les individus ou les groupes se représentent leur organisation. Elle se décompose en trois courants principaux : l'analyse de la culture, l'analyse interprétative et l'analyse cognitive. Ainsi, on a pu mettre en évidence l'interaction de nouveaux éléments dans le management des organisations. Dans notre cas d'espèce, ce propos s'attachera donc à identifier le rôle joué par la culture dans ce processus. [...]
[...] Ce phénomène pourra aussi atténuer les opportunités qui se présentent à l'organisation. Face aux changements externes, l'interprétation des managers va se faire en référence aux croyances de l'entreprise et ainsi, l'organisation pourra négliger l'intérêt d'un évènement qui aurait pu lui être profitable. Cette vision de la culture et de son rôle dans l'organisation se confirme dans l'analyse de la prise de décisions du dirigeant. En effet, on constate encore de nos jours que le choix des décisions stratégiques incombe souvent au dirigeant, celui-ci même étant influencé par un ensemble de croyances et de valeurs. [...]
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