Pour certaines entreprises, les dépenses énergétiques peuvent représenter de 15 à 20 % de leurs dépenses, voire même du coût de revient du produit. C'est le cas pour les entreprises qui produisent de l'acier, du ciment, du sucre, du papier et des engrais. Energies utilisées : le charbon, le pétrole, le gaz et l'eau.
Toute la difficulté pour l'entreprise c'est de faire un arbitrage entre une stratégie de coût (comment réduire ce cout ?) et une stratégie de développement durable. En terme de progrès technique, pour les entreprises l'amélioration du progrès technique est considérée comme de plus en plus difficile à obtenir, de plus en plus coûteux. Les entreprises ont le sentiment que tout a été fait et qu'elles ont de très faibles marges de manœuvre (sentiment de pouvoir faire quelque chose, mais avec des coûts très élevés).
[...] La responsabilité sociale de l'entreprise, pourquoi est-elle stigmatisée ? Pour certaines entreprises, les dépenses énergétiques peuvent représenter de 15 à 20% de leurs dépenses voire même du cout de revient du produit. C'est le cas pour les entreprises qui produit de l'acier, du ciment, du sucre, du papier et des engrais. Energie utilisée : le charbon, le pétrole, le gaz et l'eau. Une des préoccupations majeures de ces entreprises sera de réduire le coût de l'énergie de cette production et elle dispose pour cela de 2 moyens : - Le recours au progrès technique - Le recours à la délocalisation Le progrès technique peut prendre 6 formes différentes Ça va être un changement dans le procédé de fabrication, par exemple pour la fabrication du ciment on va passer par un système de production par voie sèche à voie humide qui est moins coûteux. [...]
[...] En contrepartie des efforts concédés par les individus (négociations), l'entreprise propose un salaire, parfois un statut et donc c'est pourquoi on dit que la décision est organisationnelle. L'organisation est une coalition d'objectifs différents (objectifs d'individus différents) et donc il faut arbitrer entre des contraintes et des aspirations. Lorsque les différents sous unités ne parviennent pas à se mettre d'accord parce qu'elles n'ont qu'une vision partielle de l'organisation. Le modèle politique Dans le modèle politique, l'organisation est vue comme un ensemble de joueurs, des individus, des groupes, qui ont des intérêts propres et qui contrôlent certaines ressources : contrôler un statut, les finances, l'autorité, répartir un budget, détenir des informations. [...]
[...] Chaque filiale a ses propres règles et l'ensemble des unités est coiffé par une direction générale. La direction fixe à chaque unité des objectifs propres et en général ces objectifs sont considérés comme des contraintes, mais doivent y répondre et doivent essayer de trouver des solutions aux problèmes qui leurs sont posés. Dans ce type d'organisation, la solution retenue n'est pas la solution optimale, mais la solution la plus acceptable, la plus satisfaisante pour la direction générale. Dans ce type d'organisation, la notion de changement à ses problématiques dans la mesure où les unités ont tendance à reproduire toujours le même fonctionnement pour ne pas froisser la susceptibilité de la direction. [...]
[...] Ce qui compte dans ce modèle, c'est de rendre la décision acceptable pour la direction. On rationalise a posteriori. Conclusion sur les processus de décision : il existe deux formes d'organisation, les organisations dominées, dominés par un ou plusieurs acteurs comme par ex les actionnaires, l'état ou un client principal. Ces organisations-là sont dominées, car elles sont dépendantes des décisions du maitre du jeu. Lorsque l'organisation est dominée, elle peut être la proie d'une OPA hostile = lorsqu'une entreprise propose d'en racheter une autre alors que la direction de l'entreprise qui va être rachetée n'est pas d'accord avec ce rachat. [...]
[...] Pour satisfaire les besoins de sécurité, l'entreprise va mettre en place un système géré par la stabilité. En interne, l'organisation est indépendante des contraintes externes. L'organisation sert de cocons dans laquelle on se sent protégé de l'extérieur. L'entreprise ne peut pas être déconnectée de ce qui se passe de l'extérieur puisqu'elle a besoin en permanence de s'adapter aux contraintes qui posent sur elles. Tous les changements venus de l'extérieur ne sont pas systématiques traumatisantes pour l'entreprise. L'entreprise pour préserver ce cocon peut mettre en place des partenariats : être en lien avec d'autres entreprises, toujours dans l'idée de se renforcer, peut mettre en place une veille stratégique : des individus que l'ont envoient dans des comités professionnels, dans des conférences, organisations extérieures et qui vont veiller sur ce qui se passe dans l'environnement et qui pourraient éventuellement impacté l'entreprise. [...]
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