La notion de pouvoir a considérablement évoluée depuis son origine.
Au départ, les individus cherchaient à voir dans l'entreprise une image harmonieuse des membres d'une collectivité solidaire en niant les jeux de pouvoir et les rivalités internes.
De nos jours, le pouvoir est placé au cœur des problèmes de l'entreprise et représente un enjeu non négligeable. Apparaît ainsi la double nécessité du pouvoir : les conflits des services prennent la forme de conflits de pouvoir entraînant alors le besoin d'un pouvoir pour les arbitrer sous la forme de l'équipe de direction ou du dirigeant.
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[...] On peut le comparer au modèle militaire d'homogénéisation. Tous les soldats lèvent un bras et une jambe, du même mouvement irréprochablement harmonieux. Parfait symbole de l'ordre hiérarchique, où la perfection du groupe provient de l'effacement des individus. Quand on ne veut voir qu'une tête, il faut en couper beaucoup Le travail serait non seulement un devoir envers la communauté mais également un bienfait pour soi. Le contrôle de la pensée implique un contrôle de la parole: prendre la parole c'est déjà prendre un peu le pouvoir et pour ceux qui exercent actuellement celui ci, laisser prendre la parole c'est déjà abandonner partiellement le pouvoir" (Deconchy 1971). [...]
[...] Le principal objectif des organisations est bien souvent un maintien ou une recherche de pouvoir au sein de l'entreprise et ceci, la plupart du temps au détriment d'une efficacité indispensable pour l'entreprise. Un juste équilibre entre pouvoir et autonomie pourrait il être atteint? Ceci semble bien être complètement dépendant de la personnalité de chacun . Avant les rapports humains étaient basés sur la contrainte et la domination, maintenant ils sont fondés sur la confiance et le dialogue. II. Réciprocité du pouvoir et stratégie des acteurs 1. [...]
[...] Au départ, les individus cherchaient à voir dans l'entreprise une image harmonieuse des membres d'une collectivité solidaire en niant les jeux de pouvoir et les rivalités internes. De nos jours, le pouvoir est placé au cœur des problèmes de l'entreprise et représente un enjeu non négligeable. Apparaît ainsi la double nécessité du pouvoir : les conflits des services prennent la forme de conflits de pouvoir entraînant alors le besoin d'un pouvoir pour les arbitrer sous la forme de l'équipe de direction ou du dirigeant. [...]
[...] Les premières mesures touchent bien sur la pensée, celle-ci étant une fonction propre à chacun, une autonomie qui peut se transformer en facteur mobilisateur (Forrester 1980). En opposition ; Destruction de l'individu pour le groupe Il faut faire croire aux individus que l'identité propre n'est qu'un leurre : l'individu doit ainsi disparaître au profit du groupe. Les rites, mythes, symboles et valeurs de la culture d'entreprise, sont destinés à rassembler et à mobiliser tout un chacun au service d'une même communauté d'appartenance ; à focaliser l'énergie de tous pour réaliser un projet commun. Ainsi ce nouveau management est encore imprégné d'une logique totalitaire. [...]
[...] Quelque soit le pouvoir que possède le changeur le changé reste maître de la décision finale. B est libre de choisie et c'est A qui éprouve une tension et dont les besoins sont insatisfaits. De plus, la relation est déséquilibrée. A possède plus de ressources que B. En tenant compte de la notion de réciprocité, de la dépendance de B par rapport à A et du déséquilibre, on arrive à une définition finale : Le pouvoir de A sur B est la capacité de A d'obtenir que, dans sa relation avec les termes de l'échange lui soient favorables. [...]
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