Pierre Kosciusko-Morizet est né à Orléans, dans le Loiret, le 17 avril 1977. Malgré son nom scandinave, celui ci est Français et possède des origines polonaises. Son arrière grand père, qui s'appelait André, était un proche de Trotski. Il fut l'un des fondateurs du parti communiste français ainsi, que maire de Boulogne-Billancourt pendant une vingtaine d'années. Alors que son grand père, Jacques fut engagé aux cotés du Général de Gaulle. Il a quant à lui, était ambassadeur de France à Washington. Le père de Pierre Kosciusko-Morizet, est aujourd'hui maire de Sèvres (UMP). Par ailleurs, il est le frère de Nathalie, plusieurs fois ministre dans le gouvernement Fillon et actuellement en poste à l'Écologie.
Toute la famille a fréquenté les grandes écoles de la république puisque par exemple, le père fut diplômé de X mines et sa soeur de Polytechnique. Pierre a toujours été plus proche de son cadet, Étienne, que de ses deux soeurs.
[...] Ainsi ces freins à la mobilité sociale peuvent être à transmission héréditaire (capital culturel et social), mais également liées à la formation. [...]
[...] Ainsi, elle n'augmente pas la valeur du salarié à l'extérieur de son entreprise. Ceci renforce la qualité des liens employeurs/employés. On constate en outre que les salariés changeant d'entreprise après avoir été formés par leur employeur sont très peu nombreux (entre 1988 et 1993 les salariés ayant changé d'entreprise après avoir suivi une formation ne représentaient que de l'ensemble des salariés à avoir changé d'entreprise sur cette période) et ne semblent pas bénéficier d'avantages salariaux dans leur carrière ultérieure. On en déduit que les entreprises réserve la formation continue à ceux dont elles anticipent la fidélité. [...]
[...] Dans cette étude, on fait plutôt mention des frein à la mobilité sociale que son l'origine sociale. I. Destinées sociales : le rôle de l'école et du milieu d'origine Les auteurs évoquent dans le premier article la notion d'idéal méritocratique ; une société où chacun occuperait une position qu'il devrait à son mérite et non pas à son origine sociale, une société ou résignerait l'égalité des chances. Logiquement l'école constituerait le moyen par excellence de parvenir à une telle société dans la mesure où elle met à disposition de tous, les moyens de formation leur permettant d'accéder aux emplois de leur choix. [...]
[...] Cependant, des numéros entiers sont aussi consacrés à la sociologie vue sous un angle quantitatif. C'est le cas du numéro 306, datant de 1997, consacré à la mobilité sociale. Les trois articles traitant de ce sujet ont été conjointement rédigés par Dominique Goux, appartenant au département des études économiques d'ensemble de l'Insee et Eric Maurin, chef de la division Conditions de vie des ménages de l'institut. Définir la mobilité sociale : elle désigne les changements de position au sein de la société que des individus, ou des groupes, peuvent connaître au fur et à mesure de leur existence ou par rapport au statut de leurs parents. [...]
[...] Les auteurs s'interrogent sur les effets réels d'une telle politique à la fois sur le fonctionnement de l'entreprise et sur les avantages qu'en retirent les salariés ; car quand bien même la formation continue serait un investissement rentable, aucune entreprise n'a intérêt à prendre l'initiative de le financer, car rien ne lui garantit que ses concurrentes ne vont pas recruter les salariés qu'elle aura contribué à rendre plus productifs. L'impact réel de la formation continue sur la productivité et les salaires est difficilement évaluable. [...]
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