«Les mêmes recettes valables dans un certain contexte, sont parfaitement fausses dans un autre », ce principe de théorie de contingence, souligné par Crozier il y a presque quarante ans, nous apparaît toujours pertinent et naturel. Cependant, dans l'histoire de la théorie des organisations, le rôle de l'environnement n'a pu se débarrasser des ignorances ou des méconnaissances qu'à la fin des années soixante, grâce aux recherches du groupe ASTON. En effet, selon Henri MINTZBERG, le terme d'environnement désigne tout ce qui est situé en dehors de l'organisation : le savoir qu'elle utilise, la nature de ses produits, les clients et les concurrents, la distribution géographique de ses activités, le climat économique, politique et même météorologique dans lequel elle fonctionne, etc., autrement dit, tous les éléments externes à l'organisation qui affectent la performance. Ayant ses propres caractéristiques, l'environnement possède certains impacts incontestables sur les structures des organisations, et oblige ces dernières d'y faire face à travers certaines structures adaptées. C'est la raison pour laquelle il n'existe pas un mode de management universellement valable en vue de la performance économique, mais plutôt de différentes approches de structures adéquates en fonctions des situations données. Il sera donc préférable dans un premier temps d'aborder les caractéristiques de l'environnement et ses influences sur les structures d'organisations (I), et dans un second temps, d'étudier les stratégies envisageables des organisations à l'aide d'analyses décisionnelles et concurrentielles(II).
[...] L'entreprise Trussardi a su avoir cette conduite, qui lui a permis de rejoindre le succès mondial. l'impacte des variables de systèmes productifs sur la structure d'organisation (la typologie de Woodward) Joan Woodward (1916/1971) dans l'ouvrage paru en 1965 Industrial Organization. Theorie and Practice montre les résultats d'une recherche importante qu'elle a réalisée auprès de cent firmes. Elle a commencé par se demander si les principes d'organisation posés par l'ensemble croissant de théories du management corrélaient avec le succès dans les affaires, quand ils étaient mis en pratique Avec sa recherche elle a mis en doute une affirmation, jusqu'à ce moment largement admise, selon laquelle il y a des principes de direction valables pour tous les systèmes de production Woodward a conclu sa recherche en affirmant que ce sont les similitudes des systèmes technologiques et de production qui permettent d'expliquer les similitudes d'organisation des entreprises. [...]
[...] Celui-ci doit suffire à assurer une vie humaine heureuse et réussie, et s'identifie au bonheur. C'est à ce bonheur que toute vie humaine tend ; il en est la fin ultime, désirable pour elle-même et suffisante 5). Comment l'homme doit-il agir pour atteindre ce souverain bien ? Selon Aristote l'homme ne peut atteindre le bonheur que par l'accomplissement de son ergon, sa fonction proprement humaine. Or, l'excellence humaine ne peut être que d'accomplir la potentialité la plus haute de l'âme humaine. [...]
[...] De son côté, l'âme rationnelle est aussi composée de deux parties : celle qui contemple les êtres nécessaires, les réalités séparées de la matière : c'est l'âme scientifique, dont la vertu est la sagesse ; et celle par qui on connaît les choses contingentes : c'est la partie calculative, qui délibère et calcule, puisqu'on ne peut délibérer sur du nécessaire. En effet, étant de l'ordre de l'action, et l'action ayant rapport aux choses particulières, la prudence porte sur les faits particuliers. De même, elle ne porte que sur les choses qui comportent quelque fin réalisable. Cette vertu morale est donc une disposition capable de choix. [...]
[...] Le secteur des télécommunications a fait l'objet le premier janvier 1998 d'une libéralisation totale. [...]
[...] C'est pourquoi, selon Aristote, le choix ne peut exister ni sans intellect et pensée, ni sans une disposition morale, la bonne conduite et son contraire dans le domaine de l'action n'existant pas sans pensée et sans caractère Mais la pensée seule ne pouvant imprimer aucun mouvement, il n'y a que la pensée dirigée vers une fin et d'ordre pratique. Ainsi, le choix préférentiel est un intellect désirant ou un désir raisonnant. Il est en cela impossible de concevoir une vertu éthique sans la subordonner à la vertu intellectuelle comme à sa fin. [...]
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