Le management interculturel permet de faire face au développement à l'international de l'économie. Il répond à une nécessité professionnelle et permet de développer des capacités et aptitudes spécifiques en matière de communication.
Le management interculturel a pour objectif de parvenir à négocier avec des partenaires de cultures différentes, et de faire des différences culturelles une opportunité, une force, et non un obstacle. Il permet aussi de maîtriser la communication en situation de négociation interculturelle par la perception du rôle de la culture dans le management des entreprises.
Au niveau professionnel, le management interculturel permet de distinguer les différents styles de management possibles et leur influence sur la motivation mais aussi de choisir et adopter les comportements et styles de négociation adéquate.
La culture peut se définir comme étant une « manière structurée de penser, de sentir et de réagir d'un groupe humain, surtout acquise et transmise par des symboles et qui représente son identité spécifique (...). Le coeur de la culture est constitué d'idées traditionnelles (...) et de valeurs qui leur sont attachées » (KLUCKHOHN) (...)
[...] De cette manière, les managers évitent les écueils dus à la démotivation ou à la désimplication du salarié. Le recrutement est donc extrêmement important dans la firme japonaise, car il est considéré comme un investissement à long terme pour l'entreprise. Il apparaît également que les recruteurs japonais favorisent l'homogénéité dans leurs équipes. La culture d'entreprise japonaise repose sur un principe primordial : la cohésion d'équipe. Comme dit précédemment, la culture d'entreprise japonaise est communautaire, le collectif est essentiel, il prime sur l'individuel. [...]
[...] Puis survint une forte baisse de cette croissance, suivie d'une déflation jusqu'à 2002, année marquant la reprise. Cependant, le Japon croule toujours sous le poids de la dette (170% du PIB), et est confronté, comme dit précédemment, à une crise démographique. 19/28 Religion La religion la plus représentée au Japon est le shintoïsme. SHINTO signifie littéralement la voix ou DO) des divinité (SHIN). Au sein de cette religion, qui s'apparente à un syncrétisme, à fort tropisme animiste, peuvent se trouver élevés au rang de divinités ( appelées kami des animaux (tigre, serpent . [...]
[...] Malgré les bombardements de la seconde guerre mondiale, le pays a réussit à se hisser à un tel rang. Ceci est en partie attribué au capital humain, lié à une forte conscience professionnelle, facteurs extrêmement importants, mais également à des choix stratégiques judicieux, comme l'exportation et les forts investissements en recherche et développement. La représentation typique du modèle économique du Japon est le Keiretsu. Il s'agit d'un conglomérat d'entreprises diverses et variées, financièrement et économiquement liées par un système de participations croisées. [...]
[...] Ce qui est petit et va doucement est beau. Culture masculine L'homme doit avoir de l'assurance. La femme doit s'occuper de l'éducation des enfants. Les rôles des femmes et des hommes sont clairement différenciés. L'homme doit dominer en société. La réussite est la seule chose qui compte. Vous vivez pour travailler. L'argent et les biens matériels sont importants. L'indépendance est l'idéal. L'ambition est source d'énergie. On doit admirer les entrepreneurs qui réussissent. [...]
[...] Il y a une acceptation à prendre des risques dans la vie. Il y a un grand souci pour maintenir la sécurité dans la vie. On est pour le relativisme et l'empirisme. On a besoin de règles écrites et de règlements. Si les lois ne peuvent être observées, il faut en changer. Si les lois ne peuvent être observées, on est de mauvais sujets et l'on doit se repentir. Les croyances font partie du bon sens. L' homme de la rue est incompétent par rapport aux autorités. [...]
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