Leader, un mot qui inspire à la fois fascination, crainte et respect. Il a fait l'objet de nombreuses études depuis Platon à Machiavel et a inspiré de nombreuses réflexions. On est alors en droit de se demander s'il existe un leader type ou, au contraire, différentes facettes de celui-ci. Quoi qu'il en soit, une chose est sûre, un leader est avant tout un visionnaire qui inspire confiance et servant de pierre angulaire pour la cohésion au sein d'un groupe.
Du débat, le leader est-ce avant tout un « savoir-faire » ou un « savoir-faire », est né la théorie du grand homme. Elle stipule qu'il existe un « gène leader » : on naît meneur, on ne le devient pas. De là découle l'interrogation suivante : y a-t-il un profil semblable à tout leader ? S'il est difficile de répondre à cette question, on retient qu'une caractéristique semble seoir à tous les leaders : le look. Le physique demeure un atout primordial pour un meneur. Un physique imposant captivera davantage les regards, l'aura qui émane de lui en sera alors renforcée. L'image du leader c'est avant tout un stéréotype : le golden boy. On a tout de suite en tête l'image de quelqu'un de grand, élégant, classe.
Outre le physique, un leader est avant tout une personnalité. Il doit être capable d'agir et de décider tout en conservant un certain recul et un sang-froid déterminant. Il possède un pouvoir non négligeable sur la réalité c'est pour cela qu'il doit se vêtir d'une certaine force de résistance. Si ces caractéristiques sont les raisons pour lesquelles un leader est apprécié, ce dernier doit conserver à l'esprit que ses décisions ne plairont pas à tout le monde.
[...] On ne peut effectuer de pressions efficaces sans connaître ces dernières. Zone d'incertitude et marge de liberté Le recours principal du pouvoir est l'autonomie. Nous pouvons diviser celle-ci en deux classes. Instinctivement, nous pouvons penser au supérieur qui passe des contrats et engage la société sans avoir à se référer sur le moment à une autre personne, celui-ci dispose d'une autonomie de décision. Cependant, un autre cas existe, celui de l'ouvrier qui a la tâche de faire marcher sa machine, pour cela il a une marge d'autonomie. [...]
[...] En outre, les récentes évolutions technologiques et les changements structurels au sein de la société ont fortement incité les organisations à favoriser le projet personnel poussant l'individu à devenir de plus en plus indépendant. Il fait la transition entre ce que l'individu est et ce qu'il veut devenir. L'autonomie est de plus en plus valorisée ce qui souligne l'importance de la dimension personnelle du leadership. La compétence : Il faut éviter l'amalgame entre compétence et qualification qui sont deux notions bien distinctes. [...]
[...] Tels le licenciement, les mises à pied ou encore les menaces. En d'autres mots, on utilise la force pour obtenir l'obéissance. Toutefois, on préférera souvent substituer des moyens plus légitimes à ce rapport de force qui n'instaure aucune confiance dans l'entreprise. De manière générale, la référence à la force est constitutive de toute relation au pouvoir. - La légitimité Max Weber a beaucoup travaillé sur l'analyse des sources de légitimité et a défini ce contexte comme la capacité pour le détenteur du pouvoir de faire admettre ses décisions. [...]
[...] Définition du SAC C'est l'ensemble de relations qui se nouent entre les membres d'une organisation et qui servent à résoudre les problèmes concrets quotidiens. Ces relations ne sont pas prévues par l'organisation formelle et les définitions de fonctions. Ces règles informelles sont nécessaires au fonctionnement de l'entreprise et sont généralement bien connues. Elles doivent absolument l'être par quiconque veut introduire des changements. Selon Crozier, l'organisation était vue comme un système d'action concrète. L'acteur et le système Ce sont les acteurs qui créent le système. [...]
[...] La personnalité paranoïaque : De nature agressive et intolérante, la paranoïa pousse cependant au dynamisme. Ce type de personnalité cherchera sans cesse à changer sa perception de la réalité pour en tirer une conclusion qui lui donnera raison. Les autres représentent dès lors une menace qu'il faudra constamment rabaisser voire humilier s'ils se présentent comme un danger pour le leader. La personnalité obsessionnelle : Trois éléments dominent : ordre, parcimonie et obstination. Ce type d'individu est très efficace dans un environnement stable avec des subordonnés dociles, car il est minutieux, affectionnant la routine et exécrant l'irrationnel. [...]
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