L'organisation est inhérente à l'existence même de l'homme : la mise en place d'un ordre, d'une structure, de procédures, donne le cadre du fonctionnement social, de ses activités, caractérisant de façon spécifique chaque groupe d'homme au travail. La qualité du fonctionnement organisationnel est unanimement reconnue aujourd'hui comme un élément essentiel de la compétitivité des entreprises. Elle l'est également pour l'efficacité de toutes les entités administratives et culturelles. Nous allons donc chercher à voir comment l'organisation de la gestion de la production a évolué afin de s'adapter aux exigences des marchés
[...] Les fournisseurs les plus importants approvisionnent directement le constructeur, confectionnent des systèmes d'équipement, des ensembles, des "modules" et sont de relativement grandes entreprises dont les conditions de travail ne sont que légèrement moins bonnes que celles que l'on trouve chez le constructeur. Les autres fournisseurs livrent aux premiers des pièces qui s'intègrent dans ces modules. Les conditions de travail se détériorent au fur et à mesure que l'on descend dans la hiérarchie de la pyramide. S'il y a une chute de la production, Toyota envoie alors ces salariés chez les sous-traitants de premier rang. Ceux-ci font de même avec les sous-traitants de second ordre. [...]
[...] Taylor met ainsi en lumière ce qui va devenir l'une des variables fondamentales de son système, la maîtrise des temps opératoires. b. L'inefficacité des méthodes de travail Le choix des organisations a des conséquences sur les conditions de travail des salariés. Ainsi une forte centralisation des informations et des décisions conduit à un travail inintéressant et fait des ouvriers de simples exécutants. Par ailleurs, les postes de travail pensés en fonction d'une automatisation poussée de la production s'avèrent très contraignants dans la mesure où les machines sont moins fiables que prévu. [...]
[...] - Fayol a une vision macroscopique, il prend du recul et observe l'entreprise dans son ensemble Weber a. La théorie Après avoir étudier l'éthique protestante, les religions et leur influence sur les types d'organisation, Max Weber ne propose aucun système d'organisation mais analyse les mutations des sociétés européennes. Il constate une évolution dans les fondements de l'autorité : Le type charismatique fondé sur les qualités personnelles du leader . Comme, par exemple, Henri Ford ou Louis Renault. Le type traditionnel dans lequel l'autorité découle du statut, le chef n'est pas un supérieur mais un seigneur. [...]
[...] Evolution de l'organisation de la production du système taylorien au modele japonais PLAN INTRODUCTION 4 I. L'ECOLE CLASSIQUE 5 A. Une période propice 5 B. Taylor 5 i. ( L'Ost Les constatations de Taylor : une faible productivité 6 a. Le freinage 6 b. L'inefficacité des méthodes de travail Les solutions apportées 6 a. Les 4 grands principes 6 b. Application des temps opératoires 7 c. La gestion du personnel 7 ii. [...]
[...] Cette conjoncture se caractérisait par: La stagnation des gains de productivité due au ralentissement de la production et à la baisse des prix. L'économie de rareté, due à une demande supérieure à l'offre. Les exigences des consommateurs en terme de quantité sont telles que le système de production qui prévaut est totalement incapable d'assurer le niveau de production requis. Le système de production artisanal reposait jusqu'alors sur l'ouvrier : la maîtrise d'un métier, d'un savoir-faire de fabrication, était la force de l'organisation ouvrière. [...]
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