Pour la sociologie classique (ex : DURKHEIM, WEBER, MARX), les théories des organisations sont un « non sens », cela n'existe pas. Pour ces auteurs, l'entreprise est un objet social non pertinent. Pour MARX, l'entreprise est un objet économique pertinent, car d'un point de vue sociologique, il ne se passe rien dans une entreprise : exemple de l'ascenseur (objet social non pertinent).
WEBER : la théorie de l'entreprise n'aurait aucun sens. Il faut essayer de comprendre les comportements dans les grandes institutions et non pas dans l'entreprise. L'entreprise représente les classes où les gens ont fait leur apprentissage dans les grandes institutions (écoles) et les appliquent dans l'entreprise et donc l'idée même de faire une théorie des organisations n'a pas de sens [...]
[...] Dans le taylorisme, on travaille pour le salaire. Dans ce système, on assiste à un contrôle de conformité de forme (et plus que de fond). On se moque de l'ouvrier qui travaille sur la chaîne. L'ouvrier pense ce qu'il veut du moment qu'il accepte les formes. Les entreprises contemporaines travaillent sur le fond, ont besoin que l'ouvrier ait l'esprit pour l'entreprise, de ce fait, le taux de rebus est moins important. Le taylorisme ne pouvait déboucher que sur le travail à la chaîne. [...]
[...] - différencier théorie X et théorie Y. - décrire les grandes phases de l'expérience de HAWTHORNE. - décrire les principaux apports de l'expérience de HAWTHORNE. - indiquer les insuffisances éventuelles de l'approche des relations humaines. Chapitre : Organisation et personnalité & critique de la bureaucratie. C'est tout le courant qui démarre au tournant du XXe siècle et qui dure jusque dans les années 60. On ne peut même pas se poser la question de savoir en quoi la personnalité peut influencer sur le travail. [...]
[...] Si un ouvrier a une idée, il est interdit de la mettre en application. Il faudra que l'ouvrier communique à sa hiérarchie l'idée qu'il a. Le service de méthode va tester cette proposition. Soit elle n'améliore pas le travail, soit elle l'améliore et tout le monde l'applique. L'ouvrier obtient une prime. Pour l'époque, le savoir faire est ouvrier. Le savoir quitte les ouvriers pour rejoindre les ingénieurs de méthode. Or, savoir c'est pouvoir. On dépouille les ouvriers du savoir et du pouvoir. [...]
[...] Pour une entreprise, il y a une logique de production et une logique de répartition. TAYLOR est dans une logique de production. Si une entreprise produit, elle va vendre et entraîner du profit, elle pourra ensuite distribuer aux détenteurs du capital et procurer de meilleurs salaires. Il pense que les profits doivent donner des salaires élevés car il pense que les salariés travailleront mieux et feront tout pour que l'entreprise marche. TAYLOR, dons une logique de valeur ajoutée, est dans une logique de collaboration et non dans une logique de lutte des classes. [...]
[...] 14/ l'union du personnel c'est l'esprit de corps, il ne faut pas abuser des communications écrites. Les intentions pédagogiques : Décrie les premières tentatives de rationalisation de la direction et de la gestion. Donner des points de repère sur l'avant taylor. Détecter les éléments force essentielle des premières théories de rationalité (universalité, légitimité des experts, division des tâches, one best way rationalisation des activités par des règles, des principes, des procédures, le salaire comme motivation unique, l'esprit de corps, structure hiérarchique, logique de production de valeur ajoutée et non logique de répartition, approche scientifique fondée sur l'emploi systématique de l'expérience, the right man in the right place Monter les limites des premières théories de la rationalité (approche mécaniste, l'entreprise appréhendée comme un système fermé, l'insuffisance du seul moyen économique comme mode de motivation, dépouillement du savoir des ouvriers au bénéfice des experts). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture