Les années 30, dans les entreprises, un seul mode de fonctionnement : le taylorisme.
Le travail est parcellisé, les tâches répétitives et pénibles. L'homme n'est qu'une machine, une de plus. Il n'a donc besoin pour exécuter son travail que de directives, d'un minimum de conditions environnementales et d'un salaire.
Et pourtant, c'est aussi à cette époque qu'apparaissent les premières idées qu'une organisation du travail basée sur le facteur humain est possible voire souhaitable.
Ainsi, Elton Mayo, sociologue australien, persuadé que la conception taylorienne du fonctionnement humain ne correspond pas à la réalité, est appelé par le Directeur de la Western Electric à Hawthorne en vue de l'aider à augmenter la productivité de ses ateliers.
La problématique de la WE : Un éclairage artificiel favoriserait-il le rendement ?
Mayo a alors l'idée de créer deux groupes : l'un dont on ne changerait pas les conditions d'éclairage et un autre pour lequel il serait modifié. L'expérience donne des résultats inattendus : la productivité augmente dans les deux groupes (...)
[...] Depuis 2007, l'institut Krauthammer, l'une des premières sociétés européennes de training et de coaching, réalise une étude annuelle sur le comportement des managers en Europe. Celle-ci révèle que les pratiques de management ne correspondent pas aux attentes des employés dans 50% des cas. Etonnant lorsque l'on songe au début du sociologue Elton Mayo et par la suite à toutes les publications, théories et contres-théories qui ont foisonnées sur le sujet ! Plus précisément, l'enquête souligne les manquements suivants des sondés) : accompagnement, encouragement, écoute des idées, informations de feed back. [...]
[...] La confiance d'identification : On parle ici du plus important degré de confiance. Celui-ci s'installe quand chacune des deux parties se montre capable de comprendre l'autre, de mesurer ses désirs et ses besoins. Cette compréhension mutuelle se développe tant et si bien que chacun finit littéralement par acquérir la faculté de suppléer l'autre. Les contrôles deviennent dès lors sans objet : l'existence d'une loyauté absolue entre les individus rend superflue toute forme de surveillance. Au fil du temps, chacun apprend à repérer ce qui est important pour l'autre, et à devancer ses attentes. [...]
[...] La confiance de dissuasion : La majorité des relations reposent, dans un premier temps, sur la dissuasion. Les relations les plus fragiles sont celles qui découlent de cette forme de confiance. Le moindre accroc, la moindre incohérence peut les faire voler en éclats. Les personnes engagées dans ce type de rapports redoutent les conséquences qu'impliquerait un manquement à leurs obligations, et agissent en fonction de cela. Imaginons par exemple que vous ayez un entretien d'embauche avec un ami d'un ami. [...]
[...] Mais alors, le manager, un surhomme ? Certes, oui. Mais quelles sont donc les qualités, les aptitudes, les caractéristiques nécessaires au manager pour mener à bien toutes les missions qui lui incombent et principalement celles qui lui permettront d'établir une collaboration efficace et de confiance ? a). Des qualités liées au "soi" En premier lieu, le manager se doit tout d'abord de faire preuve d'intégrité soit d'honnêteté et de transparence. Ainsi, dans une enquête de Deloitte1 et Ineum Consulting2 réalisée au sein d'un groupe de PDG, cette qualité a été notée comme une condition sine qua non de l'établissement d'un climat relationnel de confiance. [...]
[...] Les relations sociales sont donc très hiérarchisées et le pouvoir, très centralisé, appartient au chef du clan social. De ce fait, nous pouvons observer d'énormes différences sociales entre chaque classe. La classe la plus importante est malheureusement celle des plus pauvres. Il faut savoir également qu'il y a un énorme fossé entre cette classe et celle des riches. La classe moyenne reste très faible mais tend à augmenter depuis les quatre-cinq dernières années grâce à l'évolution de la société et la modernisation avec l'arrivée des nouvelles technologies de communication notamment. [...]
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