Les conceptions traditionnelles de la régulation des comportements par l'organisation du travail remontent à la fin du dix-neuvième siècle, avec les travaux du français Henry Fayol, de l'allemand Max Weber, de l'américain Frederick Taylor et de leurs contemporains. Ces approches sont cohérentes avec une conception de la stratégie dite haut-bas (la stratégie est conçue par les dirigeants et le reste de l'organisation est considéré comme un ensemble de moyens permettant de la déployer).
Il est force de constater qu'il existe beaucoup de types structurels (structure fonctionnelle, divisionnelle, matricielle…). Il est important de connaître les forces et faiblesses de chaque type structurel et de comprendre que les organisations réelles cumulent généralement plusieurs de cette typologie théorique.
[...] Il est force de constater qu'il existe beaucoup de types structurels (structure fonctionnelle, divisionnelle, matricielle, Il est important de connaître les forces et faiblesses de chaque type structurel et de comprendre que les organisations réelles cumulent généralement plusieurs de cette typologie théorique. En outre, la configuration d'une organisation occupe une place importante dans les théories de management stratégique. Selon Mintzberg, une configuration organisationnelle c'est un réseau d'interrelations entre les composantes de l'organisation, permettant de mieux tenir compte de la complexité. Pour traiter ce sujet, nous avons posé un certain nombre de questions, à savoir : quel est le classement qu'a fait H. Mintzberg et sur quelle base ? Quels sont les mécanismes de coordinations ? [...]
[...] Il est force de constater qu'il existe beaucoup de types structurels (structure fonctionnelle, divisionnelle, matricielle, Il est important de connaître les forces et faiblesses de chaque type structurel et de comprendre que les organisations réelles cumulent généralement plusieurs de cette typologie théorique. En outre, la configuration d'une organisation occupe une place importante dans les théories de management stratégique. Selon Mintzberg, une configuration organisationnelle c'est un réseau d'interrelations entre les composantes de l'organisation, permettant de mieux tenir compte de la complexité. Pour traiter ce sujet, nous avons posé un certain nombre de questions, à savoir : quel est le classement qu'a fait H. Mintzberg et sur quelle base ? Quels sont les mécanismes de coordinations ? [...]
[...] Ainsi, un arbitrage entre centralisation et autonomie semble indispensable et qui est une question organisationnelle fondamentale. Au sein de la structure, où doit être localisée la responsabilité des décisions stratégiques ? C'est-à-dire qu'on peut savoir si les décisions sont centralisées au sommet ou décentralisées aux autres niveaux hiérarchiques. Bibliographie C. KENNEDY , 1993: «Toutes les théories du management» Maxima. M.PORTER : L'avantage concurrentiel - Dunod Stratégique Gerry Johson et Hevan Scholes Édition française dirigée par Frédéric H. MINTZBERG Structure et dynamique des organisations les Éditions d'organisation, H. [...]
[...] Il exerce des fonctions de supervision directe : allocation des ressources, règlement des conflits, contrôle, diffusion de l'information, leadership. Il est également chargé de la gestion des conditions de frontière de l'organisation et de ses relations avec l'environnement (contacts à haut niveau, négociation, etc.). Enfin, il doit développer la stratégie de l'organisation. la ligne hiérarchique : C'est la ligne d'autorité, composée de cadres, contremaîtres, etc., qui joint le sommet stratégique au centre opérationnel. Chaque membre de la chaîne hiérarchique accomplit, à son niveau, le travail du sommet hiérarchique. [...]
[...] Ils sont généralement tous présents, mais à des degrés divers et c'est ce qui en caractérise la structure. Ils sont généralement fixés selon le modèle de prise de décision : centralisation, décentralisation verticale ou horizontale, décentralisation sélective, limitée à certaines décisions, décentralisation parallèle. H. Mintzberg note qu'il existe une solution de continuité entre ces mécanismes. Lorsque le travail accompli par l'organisation devient plus complexe, on passe de l'ajustement à la supervision directe, puis à la standardisation, pour revenir au point de départ. L'ajustement mutuel, naturel dans les situations simples, est inévitable dans les situations très difficiles. [...]
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