Elle recherche la rationalité. Son objectif est d'améliorer la productivité. Les premières réflexions sur l'organisation (théories) portent sur la rationalisation du travail, des structures, de la direction.
Dans les années 1960, George Friedmann considère que le travail est dépersonnalisé : l'ouvrier à l'impression d'être interchangeable (anonyme dans une masse, peu intégré, aliéné, dépossédé de son savoir faire). L'absentéisme et le turn-over se développent dans les entreprises.
Dans les années 1970, tentation de réforme du taylorisme, par l'autonomisation des machines mais aussi en rendant plus autonome le salarié et en augmentant ses compétences : c'est une apparente autonomie car l'organisation demeure taylorienne.
[...] Les caractéristiques individuelles (âge, santé, allure) 2. Psychologiques (tempérament, caractère, résistance) 3. Intellectuelles (esprit d'analyse, mémoire, vivacité) 4. Culturelles (formation, éducation, expérience) Toutes ces ressources et contraintes ne sont pas directement liées à l'acteur et à son environnement immédiat, elles peuvent être aussi structurées par l'organisation elle-même. Une fois celles-ci identifiées, l'acteur va agir dans ce cadre délimité et restera libre à l'intérieur des limites fixées LE POUVOIR DE L'ACTEUR ET LES ZONES D'INCERTITUDES L'étendue du pouvoir dépend des zones d'incertitudes. [...]
[...] L'entreprise est un flux et un lieu de transformation : cette métaphore s'intéresse au changement organisationnel (théorie évolutionniste ; théorie interactionniste). Les organisations sont à la fois des systèmes d'interactions ordonnées et chaotiques. Les équipes de travail doivent être autoorganisées (gestion des frontières) 2. UNE APPLICATION PRATIQUE DES TRAVAUX DE G. MORGAN : UNE VISION MÉTAPHORIQUE DE L'ORDRE JUDICIAIRE FRANÇAIS L'organisation est fondée sur des processus de différenciation et d'intégration. Cette différenciation est souvent liée à une division du travail ou à un effet de spécialisation. [...]
[...] Une dialectique s'instaure entre le fait et le réseau : le fait est donné par le réseau qui le porte, lequel n'existe que par le fait autour duquel il se forme (récursivité). Latour et Callon proposent une méthode pour traduire un réseau : 1. L'analyse du contexte : les actants (humains et non humains) 2. La problématisation : faire la part de ce qui unit et de ce qui sépare dans une situation 3. Le point de passage et la convergence : lieu et énoncé incontournable 4. Les portes-paroles 5. [...]
[...] La cité domestique (Bossuet) : légitimité traditionnelle 3. La cité de l'opinion (Hobbes) : reconnaissance publique 4. La cité civique (Rousseau) : l'intérêt collectif (la démocratie) 5. La cité industrielle (Saint Simon) : la science 6. La cité marchande (Ricardo) : le prix, la concurrence Selon les auteurs, chaque personne doit affronter des situations relevantes de mondes distincts et doit savoir les reconnaitre pour s'y ajuster. En cas de dispute 3 solutions sont envisageables : la clarification, l'arrangement et le compromis. [...]
[...] Selon cette vision, l'homme peut s'impliquer durablement dans son travail, si celui-ci lui ouvre des perspectives nouvelles en termes de développement personnel. Cette théorie repose sur plusieurs principes : - Le travail peut constituer une source de satisfaction personnelle - L'homme est capable de s'autodiriger - Il a des capacités à créer - À assumer des responsabilités professionnelles - On peut donc le faire participer (management participatif en privilégiant la direction par objectif (logique de contrôle) LES AUTRES CONTRIBUTIONS DE L'ÉCOLE DES RELATIONS HUMAINES Lewin (1890-1947), Son approche se caractérise par une méthode d'investigation scientifique et une approche méthodologique (la recherche-action). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture