entreprise, courant psycho-sociologique, relations humaines, théorie des besoins, organisations
Il existe différentes écoles de pensées qui se caractérisent par la conception qu'elles ont des caractéristiques de l'entreprise et des différentes composantes de cette entreprise.
Le principe de base va être de considérer que l'entreprise est une organisation et qu'il faut considérer la structure de cette entreprise et les liens entre les différents composants.
Les premières personnes à avoir étudié l'organisation de l'entreprise ne sont pas des économistes, ce sont des ingénieurs, des psychologues, des sociologues et manageurs. Ces théories mobilisent des concepts et des outils qui viennent de plusieurs disciplines : sciences économiques, sciences de gestion, sociologie, psychologie et histoire.
[...] Division verticale du travail Elle consiste à hiérarchiser l'entreprise. L'autorité devient pyramidale et elle peut exceptionnellement être déléguée aux échelons inférieurs sous réserve que les ouvriers soient toujours de simples exécutants. Cela revient à placer la meilleure personne à la meilleure place : «The right man in the right place». L'ouvrier n'est pas là pour penser, il doit seulement exécuter les tâches qu'on lui donne. Salaire au rendement Il permet de mesurer de manière très précise la productivité de chaque ouvrier, ce qui permet de mettre en place un système de salaire fondé sur la productivité de chaque ouvrier. [...]
[...] Elle est liée au statut de l'entreprise déterminée dans le cadre du contrat de travail. C'est selon lui, la base d'une administration efficace. Il va alors créer un modèle bureaucratique pour lesquels il va élaborer 6 règles de fonctionnement : division du travail : le poste, les tâches et les responsabilité de chaque individu sont clairement définies structure hiérarchique : il y a relation entre les patrons et les subordonnées clairement définies et les limites de l'autorité sont établis avec précision. [...]
[...] Ce courant psychosociologique a débuté a la fin des années 1930. Le contexte : la crise de 1929 : remise en cause du modèle classique, critiques développement de la psychologie avec Freud : on se rend compte de la prise en compte des facteurs psychologiques et des facteurs humains dans la productivité développement de l'ergonomie : adaptation du travail à l'homme On va avoir 2 grandes catégories d'approche : l'école des relations humaines (MAYO) et la théorie des besoins (MASLOW) 2.1 L'école des relations humaines «Les problèmes sociaux d'une civilisation industrialisé» Mayo : auteur principal. [...]
[...] Un décalage se crée entre les ingénieurs et les ouvriers. Les ouvriers ne maitrisent pas l''ensemble des processus de production : leurs gestes sont dépourvus de sens et deviennent aliénants Ford Ford appartient à la catégorie des manageurs. Il a des usines automobiles et va y introduire le travail à la chaîne en adaptant les principes de rationalisation du taylorisme. Il va accentuer la division horizontale du travail et va remplacer certains hommes par des machines Substitution du travail sur le capital. [...]
[...] CONCLUSION : Les apports : Pour mettre en place une politique de motivation des salariés, on ne peut pas uniquement jouer sur les conditions de travail . De plus, sa plaide pour un enrichissement des tâches . Cela va conduire au regroupement des taches. Les critiques/limites : Il plaide pour un enrichissement de taches, mais il remet pas fondamentalement la division du travail . Son travail se fonde sur des entretiens. Il va discuter avec les individus de leurs souvenirs, ce qui devient subjectif. Pour lui, le contrôle est une source d'insatisfaction qui n'est pas forcement . [...]
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