Structure, organisation, entreprises, Mintzberg, Levi Strauss, équilibre, organigramme, autonomie, liberté, individu, pouvoir, répartition du travail, responsabilité, comportement
Selon DESEMAUX, la structure est l'architecture concrète d'un corps, c'est l'ensemble des dispositifs par lesquels une organisation divise, répartit, coordonne et contrôle les activités pour atteindre un but. C'est donc une manière d'organiser le travail et de canaliser les énergies (donne cette définition générique de la structure).
Selon CROZIER et FRIEDBERG, la structure est la codification provisoire d'un état d'équilibre qui déprend du rapport de force entre des groupes, des coalitions. C'est une vision politique de la structure exposée dans le livre « l'acteur et le système ».
[...] Ça fonctionne hors hiérarchie et permet - La structure par projet : un projet est une mission temporaire - La structure réseau : le but est d'externaliser toutes les activités qui ne sont pas dans le c?ur de métier d'entreprise, de manière à ce que chacun soit hyper spécialisé et fasse ce qu'il sait le mieux faire. Inconvénient : on est extrêmement dépendant des autres + perte d'autonomie. Conclusion selon H. Mintzberg Il abandonne le terme de structure qu'il préfère remplacer par celui d'organisation. L'organisation post-Taylorienne est orientée vers 4 objectifs : 1. La flexibilité : s'adapter rapidement aux évolutions de la demande de la technologie, etc. [...]
[...] Ex : prod d'objets de luxe 2. La production de masse : modèle Taylorien ou Fordiste, à la chaîne, organisation hiérarchisée, recherche de productivité. 3. La production en continu : entreprises qui doivent être capable de fonctionner 24h/24 A. Chandler : la stratégie détermine la structure et son évolution Conclusion générale : Synthèse : H. Mintzberg identifie 6 mécanismes de coordination. 1. L'ajustement mutuelle : la communication informelle 2. Supervision directe : le pouvoir hiérarchique 3. La standardisation des procédés : 4. Standardisation des résultats : 5. Standardisation des règles : 6. [...]
[...] Lorsqu'elle devient un handicap, on peut la modifier mais faut toujours le faire avec une « main tremblante ». A quoi cela sert-il d'avoir une architecture stable et durable dans les organisations ? Utilité de structure : 1. Sert à réduire l'incertitude grâce à la mise en place de procédures et de routines d'actions. 2. Sert aussi à favoriser la convergence des comportements des individus grâce à une culture commune un langage et un mode de pensé commun). 3. Permet de canaliser les énergies en particulier celles qui visent à prendre le pouvoir dans une organisation. 4. [...]
[...] La productivité : il faut améliorer le ratio sur moyens 3. Les délais : comment on fait pour gagner du temps ? 4. La variété : la capacité de proposer des réponses sur-mesures, adaptées à chaque situations. III. Structure et contingence (correspond aux aléas, au hasard des éléments qui se produisent) Une structure contingente : elle s'est adaptée aux évolutions de l'environnement dans lequel elle vit. Cette façon de penser s'inscrit dans les théories d'évolutions, thèse du darwinisme social. En 1965, Joan Woodward identifie la technologie détermine la structure et donc la technologie est un facteur de contingence (c'est-à-dire elles sera différente selon la technologie à sa disposition). [...]
[...] 3. La structure bureaucratique : une organisation de grande taille avec de nombreux niveaux hiérarchique, un organigramme complexe et de nombreuses règles écrites. Comment choisir une structure ? 4 critères à prendre en compte : 1. La centralisation ou la décentralisation : concentration/ centralisation/ délégation du pouvoir 2. Structure fonctionnelle ou opérationnelle : f (éloigné du terrain), o (concerné par le coeur de l'activité et proche du terrain) 3. Pyramidal ou horizontale : p (hiérarchique), h (pas de hiérarchies, petits groupes) 4. Changement ou continuité II. [...]
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