Présentation de l'entreprise, caractéristiques, fonctions clés, nouvelles approches économiques, entreprise, coûts de transaction
Alfred Chandler distingue 2 types de structures :
La forme unitaire U : Système centralisé au niveau des décisions. Les décisions du sommet concernent l'ensemble de l'organisation, ce sommet est séparé en départements fonctionnels (service comptabilité). Lui-même est séparé en unités opérationnelles (production, contact).
La forme multidimensionnelle M : Elle se compose en 4 niveaux, c'est une structure décentralisée qui associe 2 choses : concentration du pouvoir et décentralisation des décisions. Le sommet stratégique est beaucoup plus important dans le M que dans le U. Il enveloppe toutes les décisions stratégiques qui ont une incidence sur la totalité de l'entreprise. Ici il y a des départements par produit. Pour chaque produit on trouve une subdivision fonctionnelle. La base opérationnelle.
[...] Globalement le type M s'adresse à des grandes structures, alors que la structure U s'adresse à des entreprises de tailles moindres ayant peu de produits et de services à commercialiser. A partir des années 84, une nouvelle typologie voit le jour avec Aoki, il s'agit de l'A/J. Il explique que l'entreprise J est beaucoup plus adaptée à l'environnement actuel. L'entreprise A ressemble à l'esprit occidentale, proche des français. Au Japon tout le monde commence au même poste. Formation informelle, pas de réclamation de poste. L'employé ne compte pas face à la collectivité. La vie de l'entreprise compte d'avantage. L'autoformation est sans contrainte. OPA : Offres publique d'achat. [...]
[...] Dans les années 70 il y a eu beaucoup de chômage, l'entreprise a donc crée une nouvelle fonction qui est la fonction sociale. A cette période on a déjà constaté des méfaits de l'application à outrance du Fordisme. L'enrichissement des taches est la culture d'entreprise deviennent prépondérantes. Les mots comme croissance, dividendes, contrôlé, valeur ajoutée, laissent place au bien être du salarié, à ses inspirations et à sa reconnaissance. La 3ème période débute fin des années 80 notamment en raison d'un certains nombres de sommets sur les problèmes écologiques de la planète. [...]
[...] Cette théorie a la mérite de montrer qu'un certain nombre d'actions voulues ou non on des incidences sur d'autres personnes que le marché n'intègre absolument pas. Théorie des parties prenantes : Théorie de l'agence Elle part de l'idée que dans toutes relations il y a deux personnes : Un principal et un agent. Il existe une asymétrie d'informations entre un principal et l'agent (manager). Il va y avoir un problème de contrôle entre le principal et l'agent. Les moyens de contrôle sont coûteux, coût d'agence. La sélection adverse c'est avant la conclusion du contrat. Le deuxième risque c'est l'aléa moral (tous les risques après contrat). [...]
[...] La structure organisationnelle dans l'entreprise Japonaise (horizontale) n'est pas contrôlée au sens strict par les actionnaires, mais beaucoup plus par les salariés et les gestionnaires mais aussi les instituts financier partenaires. Ce qui suppose une grande stabilité des fonds ou des capitaux permettant à l'entreprise de faire des projets à plus longs termes points au niveau de l'entreprise : L'efficience X chez Liebenstein dans les années 70. Il a été le premier à montrer que l'efficience ne dépendait pas seulement de la combinaison des facteurs production mais qu'elle dépend également de la structure et de l'organisation de l'entreprise. [...]
[...] Principe du pollueur-payeur. Il faut que les entreprises payent les dégâts occasionnés dans leur environnement. A l'origine chaque pays a un niveau de pollution acceptable, on définit alors un droit à polluer. Ces droits doivent être achetés par l'entreprise. En fonction du nombre de droit elle pourra plus ou moins polluer. A l'origine c'est un marché national, mais il est devenu international. En France en raison de l'offre et de la demande, les droits à polluer on un prix relativement faibles. [...]
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