Pouvoir, obéissance, Henry Mintzberg, Michel Crozier, répartition du pouvoir, rationalité, entreprises, communication
Le jeu du pouvoir donne naissance à une structure rationnelle qui se superpose à la structure. Formel, ce jeu du pouvoir est difficilement contrôlable par les dirigeants. Ainsi, un individu sans pouvoir formel peut devenir un pouvoir réel grâce à 4 sources : entreprise, maîtrise de l'information, communication, maîtrise des règles, l'ensemble d'incertitudes qui donne la liberté d'incertitudes...
[...] La méritocratie : la performance des individus mesurée à partir des indicateurs ; Limite : les indicateurs ne représentent qu'une partie de la réalité & sont dépendants : dans nos préjugés idéologiques. L'arène politique : tous les acteurs possèdent du pouvoir qu'ils utilisent pour se mutuellement. Ce jeu de pouvoir abouti un équilibre de forces = une situation en apparence stable, mais qui repose sur des pressions + forces constantes ? il y a des conflits fréquents et insistants ainsi qu'une obsession de curette chacun tente d'augmenter son pouvoir. [...]
[...] Face à cette injustice Athènes répond qu'entre le fort et le faible il n'y a pas de justice, la justice n'existe qu'entre les forts. d'où nécessité d'institutions fortes. [...]
[...] Si l'acteur se situe dans un SAC (=système d'action concret, c'est-à-dire : un ensemble d'humain qui produit des règles stables + mécanismes de coordination, les acteurs sont les concepteurs su système ± volontairement, ils sont aussi les victimes, les règles limitent leur liberté). Le jeu du pouvoir donne naissance à une structure rationnelle qui se superpose à la structure. Formelle, celui-ci est difficilement contrôlable par les dirigeurs. Ainsi un individu sans pouvoir formel peut devenir un pouvoir réel grâce à 4 sources : entreprise, maîtrise de l'info, communication, maîtrise des règles, l'ensemble d'incertitudes qui donne la liberté d'incertitudes? La répartition du pouvoir : H. Mintzberg identifie 6 configurations de pouvoir dans les organisations : L'instrument : l'organisation devient l'outil dépendant d'une coalition externe. [...]
[...] Cette anxiété permet à l'individu de se prouver à lui-même par des manifestations émotionnelles qu'il n'est pas d'accord avec ce qu'on lui demande de faire. Le maintien de l'individu dans un état agentique (dépendance d'un(e) autre aussi longtemps que l'individu n'a pas de force de s'opposer à son autorité/ groupe qui soutient l'autorité. L'obéissance est moins renforcée par le conformisme que par le désir d'être acceptée dans une groupe. La servitude volontaire : il n'y a pas de maître si les esclaves ne sont pas consentants. L'individu ne se rends pas compte que son comportement est dirigé de l'extérieur. [...]
[...] Ce pouvoir est d'autant plus fort qu'il a de complexités et de contradictions dans les règles. - Les bureaux / bureaucrates finissent par oublier l'intérêt général pour se focaliser sur la survie du bureau et sur le pouvoir qu'ils peuvent exercer (le pouvoir c'est le nombre de personne sous ses ordres et le budget que la personne gère). Il y a une tendance à l'inflation car on veut toujours augmenter notre budget/personnels Section 2 : Les aspects opérationnels du pouvoir - Nicolas Machiavel (Italie Florence livre : le prince) dans son livre il explique comment gouverner. [...]
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