Il est de plus en plus demandé aux chefs d'entreprise et aux décideurs la transparence sur leurs pratiques.
Le citoyen et la société civile souhaitent disposer d'une information précise sur les modèles de gestion et de décision aussi bien au plan industriel, financier, fiscal qu'à celui de la qualité des produits et matières utilisées et de leur impact sur les personnes et l'environnement (...)
[...] Les nouvelles orientations La transparence Une nouvelle orientation : Il est de plus en plus demandé aux chefs d'entreprise et aux décideurs la transparence sur leurs pratiques. Le citoyen et la société civile souhaite disposer d'une information précise sur les modèles de gestion et de décision aussi bien au plan industriel, financier, fiscal qu'à celui de la qualité des produits et matières utilisées et de leur impact sur les personnes et l'environnement. La gouvernance Gouvernance d'entreprise : Cette notion complexe désigne l'ensemble des règles de décision, d'information, de surveillance et l'ensemble des relations à construire pour permettre aux différentes parties prenantes internes (actionnaires, employés, clients, fournisseurs) et externe (pouvoirs publics, associations, ONG) de voir leurs intérêts respectés et leurs voix entendus. [...]
[...] Seulement 20% de la population mondiale a accès à l'eau potable, l'énergie et aux principaux médicaments Les 20% les plus riches de la population mondiale consomment 86% des ressources naturelles tandis que les 20% les plus pauvres En 1960, les écarts de salaires dans les entreprises étaient de 1 à aujourd'hui ils sont de 1 à 550 La responsabilité sociétale des entreprises : C'est la déclinaison dans l'entreprise du concept de développement durable. Le modèle économique et social s'enrichit volontairement de l'environnement et intègre de nouvelles approches : qualité des filières d'approvisionnement, qualité de la sous-traitance, détermination de l'emprise écologique de l'entreprise. [...]
[...] La mise en évidence du bien fondé et de la réalité de cette nouvelle responsabilité constitue un impact, favorable ou non, en terme d'image II) l'économie de l'immatériel : Contexte : Une nouvelle dimension de l'économie apparaît depuis une dizaine d'année sous l'effet conjugué de multiples éléments tels que : Le développement du secteur tertiaire La logique souple de réseau Les progrès technologiques La mondialisation Une forme d'état postindustriel de l'économie fondé sur les idées prend le pas sur celui fondé sur le travail physique Le facteur qui assure l'avantage se situe dorénavant plus dans l'immatériel et le diffus (informations, savoir-faire, connaissances) que dans le matériel et le spécifique (matières, énergies, méthodes) Conséquences : Dans l'économie de l'immatériel, un troisième facteur savoir vient compléter les facteurs capital et travail. C'est de l'échange et du brassage permanent des idées et des savoirs, effectué le plus souvent sans contrainte ni barrière, que provient la création et l'innovation, elles- mêmes sources du développement et de la valeur des entreprise. L'entreprise va donc se fixer comme une de ses priorités stratégiques de garantir les éléments importants de son capital immatériel. [...]
[...] Elle va organiser la mise en évidence et la formalisation de ses savoirs et concrétiser leur protection au travers de la propriété industrielle et intellectuelle. [...]
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