Le leadership répond à un besoin de l'entreprise (sans leader et manager c'est la mort de l'entreprise). Le leader est celui qui a le plus d'influence. On a tendance à croire que c'est inné alors il faut trouver le bon leader pour ne pas donner le pouvoir à n'importe qui.
Il y a une pluralité du leadership avec un leadership transactionnel (celui qui accepte de discuter avec son environnement) et le leadership transformationnel (le leader trace sa voie et y fait adhérer son environnement) (...)
[...] Le but est d'emporter l'adhésion de ses collaborateurs, d'où un discours de survalorisation extrême. On va dépasser les contraintes du réel, tout repose sur une très grande confiance du leader en lui-même : c'est l'effet Wallenda (la confiance fait que le leader fait des choses impossibles). Au sein du groupe soit on est avec le leader, soit on est contre. Leaders très utiles pour gérer les mutations, grande efficacité. Les approches contingentes Approches plus modestes : l'efficacité du leader dépend de facteurs situationnels et des relations entre le leader et les membres du groupe. [...]
[...] Mais à l'intérêt d'attirer l'attention du leader sur les outils de contrôle et de s'interroger sur le style managérial qu'il préfère. CONCLUSION SUR LE LEADERSHIP : Le leadership est avant tout le facteur clé de la motivation. Beaucoup d'entreprises développent des formations sur le leadership. Débat entre leadership : art ou science ? inné ou acquis ? On fait une différence entre managers et leaders : Zaleznik 1993 : “Managers do things right. [...]
[...] - théorie du changement renforcé de Bass (s'intéresse à l'émergence du rôle de leader dans les groupes). Le rôle n'est pas un statut mais une fonction, un ensemble de tâches attendues. Sans leader il n'y a pas de groupe. II) L'efficacité du leader La question essentielle du leadership apparaît dans les années 50 : dans ce domaine il y a beaucoup de normativités qui vont s'opposer aux théories contingentes. Les approches normatives du leadership Approche du one best way : il existe une façon de se comporter qui est vraie peu importe le contexte. [...]
[...] Le leader est celui qui a le plus d'influence. On a tendance à croire que c'est inné alors il faut trouver le bon leader pour ne pas donner le pouvoir à n'importe qui. Il y a une pluralité du leadership avec un leadership transactionnel (celui qui accepte de discuter avec son environnement) et le leadership transformationnel (le leader trace sa voie et y fait adhérer son environnement). Les facteurs d'émergence du leadership approche personnaliste (années 30-50) On recherche les facteurs liés mentalement et physiquement au leader (âge, taille, sexe Cela a donné peu de résultats mais cette méthode ressurgit aujourd'hui avec des travaux sur la personnalité et la théorie des Big five : la personnalité se résume à 5 dimensions qui montrent la capacité d'un individu à tenir un rôle de leader : l'intelligence, le sens des responsabilités, l'extraversion, la stabilité émotionnelle, le caractère agréable. [...]
[...] Il va se retirer vers son style motivationnel de base. Celui qui est orienté vers la relation va être moins efficace car il va perdre du temps à mettre en place une relation alors qu'il n'a pas les moyens d'établir la confiance (le style orienté vers la tâche toujours plus efficace) - Dans toutes les situations intermédiaires c'est le style relationnel qui l'emporte. Théorie qui n'est pas très opérationnelle car on peut avoir du mal à cerner le niveau de contrôle de la tâche. [...]
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