Style Taylorien, direction de style autocratique, Pyramide de Maslow, analyse de Likert, leader potentiel
Dans les organisations, il y a plusieurs instruments du pouvoir tel que l'hérédité, statut, mandat, personnalité. Pour qu'il y est efficacité du pouvoir du dirigeant, sa puissance doit ê sup aux autres parties prenantes. L'obéissance aux leaders doit ê légitime.
H.Mintzberg propose 6 configurations du pouvoir :
L'instrument : lorsque l'influence vient des coalitions externes. Le pouvoir est entre les mains de la coalition externe.
Coordination : par les résultats
[...] o Approche théorique sur le leadership : c'est approche en termes de caractéristique personnels du dirigeant. Un leader doit avoir certains traits de personnalité tels que l'intelligence (capacité à résoudre l'initiative et la confiance en soi. o Approche contingente : Il n'existe pas de leadership idéal, les caractéristiques des subordonnées, la nature des act et des tâches ou le type de structure conditionnent fortement le style de leadership efficient. Il existe une différenciation des styles de management en fonction des hommes et des situations. [...]
[...] Analyse des différentes positions : Management appauvri : le dirigeant n'a de l'intérêt ni pour les tâches ni pour les ressources humaines. Management country club : le dirigeant a de l'intérêt pour les ressources humaines mais peu pour les tâches. Management institutionnel : équilibre entre les impératifs de et ceux liés aux ressources humaines. Management autoritaire : le dirigeant porte un intérêt élevé pour les tâches, peu pour les ressources humaines. Management idéal : dirigeant accorde bcp d'importance aux tâches et aux RH. [...]
[...] Aujourd'hui, le pouvoir ne devient un mode d'échange fondamental entre les individus que s'il est légitime càd acceptée par ceux qui en subissent les csq. Le pouvoir de nature juridique : L'existence du pouvoir est liée à l'existence de rapports hiérarchiques d'origine juridique : ainsi le CT implique une subordination juridique du salarié à l'égard de l'employeur. Mais dans l'ent, le fondement du pouvoir repose sur le droit de propriété. Les propriétaires n'exercent pas toujours directement ce pouvoir qui peut être confié à un dirigeant. [...]
[...] Le pouvoir est entre les mains de la coalition interne. Les organisations innovatrices (adhocraties) valorisent la méritocratie. L'arène politique : tous les acteurs possèdent des sources de pouvoir qu'ils utilisent pour se contrôler mutuellement et qui tendent à s'équilibrer (via la quasi résolution des conflits et les réserves organisationnelles). Mécanismes de coordination = absents ou dominées par le jeu du pouvoir informel lié aux intérêts individuels. Les manœuvres politiques y coexistent ou s'opposent ou se substituent aux sources légitimes de pouvoir. [...]
[...] Cette appréciation de la vie conduit à une direction de style autocratique. A l'opposé, le manager du 3ième type pense que le personnel est la + grande des valeurs de l'ent (notion de confiance, d'autonomie). De ce fait, il faut dans le cadre d'un projet d'ent, laisser la + grande autonomie aux salariés. Cela a pour csq, un bon climat social, une envie de travailler. Entre le style Taylorien (rigide) et le style de l'ent du 3ième type, il existe tout un éventail de style de direction qui dépendant de la taille de l'ent, de son secteur, de son histoire, de la personnalité du dirigeant, des attentes des salariés, de la réussite de l'ent. [...]
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