Management, entreprise, organisation, structure organisationnelle, coordination, Henri Mintzberg, Henri Fayol, Taylorisme, répartition des tâches, ouvriers, conflit d'infériorité, structure fonctionnelle, structure hiérarchico-fonctionnelle, structure décisionnelle, structure matricielle, coordination intra, conseillers, experts, directeur de production, DRH Direction des Ressources Humaines, groupe de projets, briques organisationnelles
Le concept de structure est défini comme la somme totale des moyens employés pour diviser le travail en tâche distincte, et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches.
Derrière cette organisation, on a l'idée de spécialisation, on divise en part distincte, c'est la division du travail.
Mais pour que le tout puisse fonctionner, il faut que toutes ces tâches coordonnent entre elles.
[...] Exemple : Il est là chaque matin, pour superviser, et donner les ordres aux employés. Cela implique aussi que le chef ait une expertise complète, comme en menuiserie par exemple, il faut qu'il vienne du métier. L'idée de standardisation, 1er type : la standardisation des procédés de travail : on a un ensemble de technostructure, qui pense une façon de travailler, et les impose au centre opérationnel, dire comme l'on doit faire. 2e type : La standardisation des qualifications ; ex : Le bloc opératoire, quand on entre dans le bloc opératoire, chaque personne sait exactement sait ce qu'elle à faire, mais d'où vient cette coordination. [...]
[...] Et il forme une équipe, que l'on appelle en entreprise les fonctions support. Ces ordres sont véhiculés par le directeur de la production qui va tenir en compte leurs conseils pour transformer cela en ordre à ses subordonnés. Comme tout structure, elle a des avantages, elle permet d'améliorer la coordination sous toutes ses formes, à l'intérieur des ateliers qui réponde à un seul chef, mais comme les experts ont une vision globale à l'intérieur de l'entreprise, il y a aussi une cohérence inter. [...]
[...] Pour lui, chaque personne dans l'entreprise doit avoir un chef et un seul chef. Il réagit alors à la structure proposée par Taylor. Alors, on voit apparaitre une structuration qu'on appelle aujourd'hui en Silo, Swing Landes en anglais. On assiste à l'émergence d'une structure très verticale, hiérarchique, et qui vise à optimiser la cohérence dans les ordres. Avec le modèle de Taylor, on s'y perdait. Donc ici, les conflits sont évités, et tout est dicté par un seul chef. -L'inconvénient majeur, est qu'elle crée un autre problème de coordination, elle règle le problème de la coordination à l'intérieur des grandes fonctions, puisque chacun a un seul chef, mais elle crée un autre problème, c'est ce qu'on appelle la coordination intra, cela crée des cloisons entre les différentes fonctions. [...]
[...] Et il dit qu'il y a des briques qui ressortent particulièrement. La structure simple : exemple la PME. L'organisation mécaniste : La techno structure, l'ensemble des personnes qui vont conseiller sur la méthodologie de production. C'est la techno structure par les procédés de travail, ex : L'agroalimentaire, L'organisation professionnelle : Ce qui ressort, la brique de base est le centre opérationnel, et la standardisation par les qualifications, par les compétences. La forme divisionnaire : Exemple, Danone, les grands groupes multinationaux. [...]
[...] Ils vont venir en support de la ligne hiérarchique, par exemple un DRH, qui peut devenir conseiller d'un chef d'entretien pour recruter avec lui. On a un autre élément de support, le support logistique, c'est tous les moyens matériels, qui permet de réaliser la tâche de production, qui peut être des parkings, une cafétéria, des voitures de fonction pour les commerciaux. Tous les moyens misent à disposition dans l'entreprise pour produire. Autour de ce schéma, il y a une sorte d'aura, que Mintzberg va appeler une idéologie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture