Il s'agit d'une idée de Taylor, Fayol, et Max Weber. L'organisation est contrôlable avec une lutte contre le désordre. Les humains et les syndicats ne sont pas appréciés, on préfère plébisciter la machine. Cette théorie est utilisée au début du 20e siècle car il y a plusieurs problèmes : de plus en plus de consommateurs et un marché de l'emploi avec des professions.
Une profession est la constitution d'un ordre professionnel qui régit l'accès du marché du travail uniquement par ces professions. Le but est de garantir la qualité des professionnels et avoir une vision malthusienne (pour entretenir la rareté). Il y a également une conscience professionnelle, à savoir la représentation mentale d'un idéal dans le travail, avec une volonté de convergence vers cet idéal. Grâce à cette conscience le contrôle des employés est moins nécessaire.
Le problème est que la main d'oeuvre est certes qualifiée mais elle est surtout rare et chère. En plus il faut du temps pour forger ces professionnels. Il y a donc une stratégie de contournement avec le travail des femmes et des enfants, et enfin le contournement par la machine. Ce développement de la coordination des tâches est un grand succès (...)
[...] Stress intense car le salarié est très sollicité, cela peut amener à la disparition des spécialistes car beaucoup de généralistes (ex : publicité - Structure politisée : aucune partie ne domine car aucune partie n'est assez forte mais elles cherchent toute à prendre la pouvoir (guerre interne, organisation sous tension Cette tension est quasiment synonyme de disparition lors de la succession, ou d'une fusion/acquisition. Structure assez passagère car on ne peut tolérer une structure de ce type sur le long terme. [...]
[...] - la bureaucratie professionnelle : le centre opérationnel est à la base de l'organisation. Il y a une valeur de professionnalisation : idée de valorisation du métier, individus qui produisent beaucoup de valeurs, ils sont moins contrôlés. La structure est jeune ou vieille mais de taille pas très élevée. La technostructure et la ligne hiérarchique sont plus faibles. Exemple avec les hôpitaux, le hi-tech, cabinet d'avocat Les limites : la gestion du centre opérationnel car les professionnels supportent très mal la hiérarchie. [...]
[...] La fonction de support : représente tout ceux qui travaille au lien avec l'environnement. L'objectif est de maintenir l'activité de l'entreprise : logique de flux, de maintenance Il faut éviter que l'organisation manque de ressources. Cette fonction est très valorisée ces dernières années (logistique, informatique Son développement est très fort car l'organisation cherche à devenir la plus légère possible, donc elle peut être en manque de ressources très rapidement et régulièrement. La distribution est la patrie de la logistique. Le 6e élément est la culture/l'idéologie : c'est le ciment organisationnel. [...]
[...] C'est ce qu'on appelle la domination souple. Le manager a une image très négative, il est le chien de garde du capitalisme (Poulantzas). Pour les salariés il y a un réel stress, qui est une évaluation subjective d'une situation. Le salarié évalue la situation, regarde le niveau d'exigence et celui de ses ressources. Il constate qu'il y a un décalage entre les 2. Il y a alors un coping soit émotionnel (découragement, réévaluation de l'importance de l'évènement, plainte ) ou une action (agir contre le stress, trouver de l'aide On retrouve ainsi un équilibre. [...]
[...] Il y a une rationalité absolue. Or Coase valorise la vision transactionnelle, fondée sur l'échange qui est la réalité première de l'économie. Dans le coût de la transaction il y a : - coût de la découverte (savoir ce que l'on veut, coût des offreurs) - coût de négociation - coût lié au contrat (coût du risque car l'homme est opportuniste avec tricherie, d'autant plus facile que l'on est dans un contexte d'information asymétrique pas pris en compte par les classiques). [...]
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