Cours de création d'entreprise visant :
[...] Le sens des responsabilités : assumer et réaliser ce qui a été convenu par l'équipe et respecter ses engagements. L'autonomie : fonctionner sans avoir besoin d'une supervision immédiate, faire des choix, prendre des initiatives et des décisions dans le cadre de ses responsabilités. La confiance en soi : Se percevoir positivement, miser sur ses aptitudes, ses habiletés et compétences, être certain de ses possibilités. Il faut, donc, une bonne dose de confiance et d'audace pour sortir des sentiers battus et être créatif. [...]
[...] "L'entrepreneur exécute une 36 multitude de tâches et son principal objectif est la survie de son entreprise" (Lorrain, Dussault, 1988). Selon Hirigoyen, (1984), l'accroissement de la part de marché qui entraînerait la croissance de l'entreprise n'est pas une fin en soi, elle est peut-être un point de passage obligé pour atteindre l'objectif réel : la survie. Le but de l'entrepreneur apparaît dès lors être que la firme survive d'abord, qu'elle croisse ensuite. Ce type de vision stratégique, souvent l'apanage des petites entreprises familiales, est parfois considéré comme objectif à long terme (Bragard e.a., 1987; Donckels, 1989). [...]
[...] Elle est souvent le fruit de la volonté de l'entreprise de conserver son avance technologique sur ses concurrentes. On parle aussi d'innovation graduelle pour désigner une légère innovation incrémentale, d'amélioration de produit. Exemple d'innovation incrémentale : lorsque les souris à bille sont devenues des souris optiques. Ou encore, lorsque les téléphones fixes se sont libérés de leur cordon (avec les téléphones sans fil). Innovation de rupture ou radicale : L'innovation est dite de "rupture" lorsqu'elle modifie profondément les conditions d'utilisation par les clients et/ou qu'elle s'accompagne d'un bouleversement technologique. [...]
[...] L'entrepreneur opportuniste ou entrepreneur d'affaire est mieux formé et expérimenté en matière de gestion. Il a généralement une expérience préalable, il s'intègre mieux au sein de l'environnement et planifie à long terme. Son projet est souvent issu d'une opportunité d'innovation. Pour Knight (1983), il y a 3 type d'entrepreneurs : l'artisan innovateur, le promoteur et le gérant général : L'artisan inventeur est motivé par l'innovation, il veut développer un nouveau produit ou un nouveau procédé. Le promoteur est un créateur dont la compétence relève du domaine commercial, marketing et de la vente. [...]
[...] Ce dernier est perçu comme une conceptualisation des affaires, un ensemble montrant à la fois, de façon concrète, comment l'argent va rentrer, et de façon abstraite, comment vont se dérouler les échanges avec les parties prenantes (clients, fournisseurs, banquiers, etc.) Selon Paul Timmers (1998), le modèle d'affaire est défini de façon générale comme le moyen avec lequel l'entreprise va créer de la valeur et générer du revenu. Le modèle d'affaire met en avant comment l'entreprise génère des profits aux différents niveaux de la chaîne de valeur. Le modèle d'affaire concerne la façon dont l'entreprise compte générer du Chiffre d'affaires et des profits. C'est la façon dont l'entreprise prévoit de servir ses clients. [...]
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