L'environnement dans lequel vivent les entreprises est turbulent et celles-ci, pour se développer, voire simplement survivre, doivent se montrer résilientes.. L'entreprise doit être capable d'adaptation et de réactivité. Le changement d'organisation est alors souvent décidé et mis en œuvre directement par le top management, souvent dans l'urgence. Ce mode de décision et d'action ajoute aux risques externes des risques internes.
En effet, la plupart des dirigeants, sont davantage férus de management que d'organisation.
La démarche d'organisation classique se fait en quatre phases: analyse de l'existant, diagnostic, recherche de solutions, choix d'une solution et sa mise en œuvre, permettant d'appréhender le vécu réel des acteurs dans l'entreprise. Mais les outils mis en œuvre restent subjectifs car ils n'offrent aucun moyen de quantification des sources de problème ou des risques encourus, ce qui rend difficile voire impossible la hiérarchisation de leur criticité.
Dans ces conditions, le résultat de la démarche de réorganisation est aléatoire et, si la solution mise en œuvre se révèle satisfaisante, c'est en partie par bonne fortune. Comment mieux analyser et maîtriser les risques lors d'un changement?
Il est légitime de considérer l'entreprise, avec ses composantes humaines, informatiques et technologiques, comme un système global.
Dès lors, une réorganisation de l'entreprise mérite les mêmes soins que la réingénierie d'un système livré à un client, en particulier en matière de non-régression en fiabilité et sécurité: il est nécessaire de rendre la démarche de réorganisation sûre.
Cette communication présente la mise en œuvre, pour sécuriser une démarche d'organisation en entreprise, nous verrons en première partie, une définition de l'entreprise en tant qu'entité ou structure avec les formes d'organisation traditionnelles puis en deuxième partie l'organisation autant que procédé et les nouvelles formes d'organisation avec appui d'un cas d'entreprise: la lyonnaise des eaux de Casablanca.
[...] Il s'agit donc de manière générique d'y ajouter: une analyse des obligations contractuelles et des modèles de fonctionnement avec le(s) partenaire(s) Suite à la construction d'un modèle cible, une analyse des impacts “contractuels”. Cette analyse peut déboucher sur ladéfinition d'un nouveau modèle de gestion puis la proposition / négociation du nouveau modèle au(x) partenaire(s); puis les résultats de cette négociation doivent être arbitrés et réintégrés dans le modèle cible. La prise en compte dans la “roadmap” des aspects externalisation définis en notamment dans les aspects gouvernance. [...]
[...] L'organisation ou la réorganisation de l'entreprise en réseau doit se faire à travers une démarche nouvelle à même de prendre en compte tous les aspects du réseau et notamment l'aspect externalisation. Ce dernier est en effet source de complexité et de risques qu'il faut pouvoir gérer efficacement pour permettre à l'entreprise de faire évoluer son organisation. Lyonnaise des Eaux de Casablanca: Cas d'Entreprise Présentation Par une délibération du Conseil de la Communauté Urbaine de Casablanca, la décision adoptée à l'unanimité le 15 avril 1997, LYDEC s'est vu confier la gestion déléguée de la distribution d'électricité, d'eau potable et du service d'assainissement liquide à Casablanca et Mohammédia. [...]
[...] J'ai élevé le ticket d'entrée de mes concurrents dans mon marché. Je peux aussi ne pas être inventif et plutôt me sentir attiré par un énorme marché en me disant que quelques pour cents de cet énorme marché seraient bien satisfaisants pour l'entreprise que je vais créer. Je me prépare donc à copier le produit qui satisfait ce marché. Mais qu'est-ce que je constaterai, si je réfléchis et si je fais des comptes ? Qu'il n'est pas simple de faire moins cher que ce qui est déjà proposé au marché car les producteurs qui sont sur ce marché sont équipés, ont investi, ont fait des efforts de productivité. [...]
[...] Boutillier, D. Uzunidis, L'entrepreneur. Une analyse socio-économique, Paris, Economica H. [...]
[...] L'apparition des nouveaux médias, des nouveaux logiciels mettent à la disposition de l'entreprise un nombre croissant d'outils pour communiquer plus vite, en tout lieu et toute heure : messageries, visioconférences, worklow . Grâce à ces nouvelles technologies, l'entreprise trouve les outils nécessaires à son développement. Les nouvelles technologies de l'information et de la communication amènent-elles les entreprises à repenser leur management ? L'introduction accélérée des NTIC dans les entreprises pose le problème de la pérennité des modèles traditionnels de management. [...]
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