entreprise, niveau hiérarchique, processus de réflexion, jeux de pouvoirs, processus décisionnel
Décider c'est rompre avec l'incertitude.
On va résoudre un problème, saisir une opportunité, néanmoins, il faut prendre en considération différents critères pour appréhender la complexité du processus décisionnel.
En effet, les décisions peuvent être lourdes de conséquences pour la survie de l'entreprise.
Les situations sont complexes donc les entreprises peuvent avoir recours à des experts (internes ou externes) pour les aider à prendre les bonnes décisions.
La décision c'est l'aboutissement d'un processus de réflexion plus ou moins long.
De nombreux acteurs interviennent dans le processus décisionnel et les jeux de pouvoirs peuvent bloquer ce processus décisionnel.
[...] Là encore les problèmes sont biens structurés. Elles se caractérisés par une simplicité d'exécution et une garantie de cohérence. La politique. C'est une troisième orientation et outils possible pour prendre des décisions programmées. Elle renvoi à des instructions que l'on va donner au manager pour orienter et cadrer leurs actions. Les décideurs ont un impact plus ou moins conséquent sur le processus décisionnel en fonction de l'outil qui lui est proposé. Cette résolution de problème peut faire intervenir la dimension individuelle du manager, c'est- à-dire sa personnalité Les styles décisionnels. [...]
[...] Les décisions non programmables. Ce sont des décisions spécifiques pour résoudre des problèmes uniques, il faut donc à chaque fois trouver un mode opératoire qui peut être plus ou moins structuré. Ce degré de structuration dépend souvent du temps dont l'on dispose pour trouver la solution Les outils pour les prises de décisions. On a trois types d'outils : La procédure. Elle comprend une série d'étapes séquentielles. Elles sont liées entre elles. Le manager va recourir à une procédure lorsqu'il rencontre un problème structuré . [...]
[...] Les inconvénients de la prise de décision en groupe. Le temps, les conflits qui peuvent émergés du groupe, la taille, les faits de groupe qui empêche l'esprit, les faits de dominations. Les groupes entrainent aussi des phénomènes de dominations sur des minorités ce qui freine au partage d'expérience, au partage des points de vue, il y a aussi un phénomène de pressions du groupe, la responsabilité qui devient ambigüe. Le problème de la prise de responsabilité car chacun se cache derrière le groupe. [...]
[...] On veut modifier en profondeur le fonctionnement de l'entreprise. On entre dans un processus de planification. Ce sont ces décisions qui permettent à l'entreprise d'être performante sur un marché concurrentiel 2.2 Le niveau hiérarchique. Nous avons : Sommet de la pyramide : Le niveau institutionnel qui va prendre des décisions décisives à long terme. C'est le sommet de la hiérarchie, ce sont les dirigeants de l'entreprise. Ces décisions dépendent de la perception des dirigeant, ou sur leur vision de l'entreprise à moyen long terme. [...]
[...] Il y en a Lorsqu'un manager a des certitudes quant aux décisions qui sont prises. Jamais il ne remet en cause la décision. Lorsque le décideur rencontre une situation inédite, une situation rare, c'est le risque de se tromper quant à l'identification du problème. Les limites de la rationalité : C'est-à-dire que les problèmes sont de nature complexes et il faut pourtant faire des choix. Les limites temporelles : Il faut agir rapidement dans l'entreprise, le temps coute de l'argent à l'entreprise. [...]
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