Exposé consacré à la gestion des crises et des conflits et plus particulièrement l'agressivité et ses manifestations.
[...] La pulsion de vie cherche à construire. La pulsion de mort cherche à détruire. La pulsion de vie s'appuie sur l'agressivité et la tension dynamique pour parvenir à ses propres fins. La pulsion de mort s'appuie sur la violence et la tension destructrice pour parvenir à ses propres fins. Mélanie KLEIN, après FREUD, pense que la pulsion de mort est expulsée vers les objets extérieurs et que la part qui reste dans l'enfant est génératrice d'angoisses plus ou moins profondes. [...]
[...] ( ( ( Le livre Le risque du sportif au manager est disponible chez l'éditeur : Le génie des glaciers éditeur - 889 boulevard du Lac 73370 Le Bourget du Lac Tel. : / Fax : P. KARELI : L'homme agressif Odile Jacob, Paris 1987. P.15 Extrait de L'affirmation de soi de D. CHALVIN. Paris, ESF D'après l'enquête de M. MICHEL ET J.-F. [...]
[...] Mais comme nous le rappellent G.Y. KERVERN et P. RUBISE : Dès 1930, se regroupent aux Etats-Unis des responsables pour les assurances de sociétés new-yorkaises. Ils forment alors le Risk Research Institut ou RRI qui constitue encore aujourd'hui la section The chapter new-yorkais de la RIMS ou Risk Assurance Manager Society. Le Risk Manager a donc fait ses armes dans le secteur des assurances puis a participé au secteur financier, de la fin des années 1970 jusque vers le milieu des années 80 (financial-risk-manager). [...]
[...] Mais l'échappée de ces zones de contraintes que constitue le pouvoir, est dans le risque. Méfions-nous donc que celui-ci soit ordalique ! (comme ce fut le cas d'un employé d'une banque anglaise à Singapour qui joua un milliard de dollars à la roulette russe de la bourse japonaise Pour le coût, le risque (ordalique ou dynamique) est une expression des jeux d'insoumission contre le pouvoir auquel se livrèrent des individus ayant eux-mêmes le pouvoir ! Henry MINTZBERG([14]) avait bien repéré ces jeux d'opposition contre l'autorité et les différents degrés d'opposition : faible jusqu'à la mutinerie ! [...]
[...] Cette aventure humaine bouscule le destin car elle prend le risque de modifier les destinées humaines. C'est parce que l'avenir est un gouffre, une dépression pour l'homme, que celui-ci le modèle, le destine, afin de se rassurer. Il en est de l'avenir comme d'autrui, et c'est parce qu'autrui n'est pas stable, qu'il est toujours en mouvement, toujours autre, qu'il angoisse et c'est face à cette dépression de l'autre et de l'avenir que les peurs s'installent, que les discours sécuritaires l'emportent et que la morosité perdure. [...]
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