La seule approche qui permet d'assurer une supériorité est celle qui consiste à fixer les objectifs de fonctionnement et les programmes de productivité à partir des méthodes les plus performantes. Cette approche, de plus en plus employée, est connue sous le nom de « benchmarking » (...)
[...] Implications des informaticiens dés le début : Les nouvelles technologies de l'information sont un des facteurs clés sinon le facteur clé permettant l'atteinte des objectifs ambitieux. Ses représentants, les informaticiens, doivent donc être impliqués dés l'origine. Mais tous insistent sur le fait qu'ils donnent les moyens de la réussite, mais n'en sont en général pas les initiateurs. Ce sont les directeurs opérationnels qui sont à l'origine des objectifs et de la réussite. Bon choix des premières opérations : Toute stratégie de rupture fait peur. Il faut donc commencer par quelques opérations limitées, relatives à des processus sélectionnés pour l'importance des enjeux qu'ils représentent pour l'établissement. [...]
[...] Il est alors pratiqué à tous les niveaus de l'organisation, et pas seulement par des spécialistes. Ces derniers sont utilisés pour des consultations sur les approches les plus productives, mais le benchmarking n'atteint vraiment son objectif que lorsque l'ensemble de l'organisation est à l'affût des meilleures méthodes extérieures à s'approprier. Le meilleur moyen pour commencer une opération de benchmarking est de la diviser en deux parties : la première donnera des indications sur la collecte d'informations générales et la seconde sur des sources plus spécialisées correspondant au domaine d'acticité concerné. [...]
[...] porter, choix stratégiques et concurrence economica just-in-time : une philosophie de gestion des entreprises fondée sur la volonté de satisfaire le client (par la qualité et des délais très brefs), d'éviter les gaspillages et d'impliquer le personnel. On poursuit l'idéal d'un flux de produit pièce par pièce. y. simon, encyclopédie de gestion »,2ieme édition, economica, page 31. b. panson, l'esprit d'entreprise : aspects managériaux dans le monde francophone Paris, aupelf-uref, page 42 y. simon, encyclopédie de gestion »,2ieme édition, economica, page 17. y. simon, encyclopédie de gestion »,2ieme édition, economica, page 28. [...]
[...] C'est certainement là son intérêt le plus fondamental. Ensuite, le benchmarking a un réel pouvoir sur la motivation au sein de l'entreprise, une fois pleinement intégré aux responsabilités, aux procédures de travail et au système de rétribution de l'organisation, il encourage celle-ci à aller de l'avant vers des objectifs réalistes. Le benchmarking apporte une légitimité aux objectifs puisqu'il les détermine sur des bases extérieures. Les bénéfices du benchmarking : Nous examinerons maintenant les avantages (bénéfices) procuré par le processus de benchmarking ; nous retiendrons ainsi cinq bénéfices tangibles : définir les exigences des clients, établir des objectifs efficaces, développer la productivité, devenir compétitifs et se situer face aux meilleures méthodes. [...]
[...] Avec lui on accompagne les ruptures organisationnelles grâce à l'entreprise en réseau. Le reengineering remis en cause les règles établies par les principaux aspects de l'organisation. Cette méthode consiste à reconfigurer l'entreprise en faisant abstraction des pesanteurs historiques et des freins psychologiques. C'est à la fois une démarche intellectuelle et une méthode d'organisation qui formalisent une dynamique de changement permettant de développer un nouvel avantage concurrentiel. Réorganisation, simplification, restructuration ou reconfiguration auraient pu être la traduction du terme américain reengineering. [...]
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