Management, démarche de Crozier et Friedberg, approche systémique, jeux de pouvoir, démarche de Woodward, démarche de Burns et Stalker, Structure mécaniste
L'approche classique est une approche analytique de l'organisation qui correspond à une vision cartésienne de la résolution de problème : face à une situation donnée, il convient de décomposer le problème de façon à le résoudre par partie.
L'approche systémique considère que pour étudier un ens, il faut s'attacher principalement aux interactions entre les diff éléments qui constituent l'ens étudié.
Un système est un ens. d'élément en interaction, distinct de son environnement avec lequel il peut être en relation (système ouvert) et orienté vers la réalisation d'un ou plusieurs objectifs (système finalisé).
[...] la démarche de Woodward : Woodward établit que les org° mettant en œuvre le même type de technologie de adoptent les mêmes formes de structure : même nombre de niveaux hiérarchiques, même taille d'équipe, même degré de standardisation du travail Trois types d'organisations liées aux technologies de production : Les org° de type unitaire ou en petites séries : Cde spécifique, la structure doit s'adapter très vite aux contraintes de fabrication. Elle dépend d'une bonne coordination du travail et d'une communication permanente et directe entre les pers. Les org° de type en grandes séries : de masse càd qui fabrique des pdt normalisés à gde échelle et de manière répétitive. [...]
[...] L'apport des travaux de Lawrence et Lorsch est triple : Ils confirment que la structure d'une org° est un phénomène toujours contingent à un envt d'act. Ils indiquent que le niveau de perf éco d'une ent traduit le degré d'adaptation de sa structure à son envt, dans ses composantes concurrentielles, productives et innovatrices. Le degré d'adaptation fort des structures organisationnelles aux conditions environnementales témoigne de la capacité de chq ent à équilibrer, dans son contexte propre, les logiques de différenciation et d'intégration. Cet équilibrage de la structure organisationnelle est, pour Lawrence et Lorsch, au cœur de la responsabilité des managers. [...]
[...] La notion de zone d'incertitude présente 3 intérêts : Elle permet de souligner que l'exercice du pouvoir dans l'entreprise dépend d'incertitudes qui peuvent être variées. Pour que le contrôle de la zone d'incertitude devienne un levier effectif de pvr, il faut que l'acteur soit conscient de cette maitrise. Les incertitudes changent au fil du temps, aussi bien dans l'environnement que dans l'org°. Un acteur influent peut ainsi se trouver marginalisé (éloigné) par le mouvement des zones d'incertitudes et de sa capacité à les contrôler. [...]
[...] Stratégies des acteurs dans les organisations : 1. l'acteur et ses stratégies : Un acteur est un individu ou un groupe d'individus qui prend des décisions avec une certaine marge d'autonomie par rapport aux règles, tout en restant dans le cadre de certaines limites fixées par le système. Les acteurs ont des î qui peuvent ê contradictoires et des obj qui peuvent ê multiples. Chaque acteur social a une vision propre de son activité, de son rôle, de son environnement ainsi que des autres acteurs avec qui il est en relation. [...]
[...] La coordination repose une division poussée et formalisée du travail ainsi que une normalisation des méth. et tâches. Les org° de type en continu : L'org° productive doit ê à la fois structurée et flexible. La structuration résulte de la lourdeur et de la complexité technique des infrastructures et équipements. C. Variables externes : contingence environnementale (variabilité, complexité, turbulence, incertitude . 1. Analyse fondée le degré de stabilité de l'environnement : La démarche de Burns et Stalker : Le degré de stabilité environnementale est une variable explicative de la forme organisationnelle. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture