Dans l'entreprise moderne, toute forme de gaspillage est à combattre. La chasse a d'abord commencé en production puis auprès des services liés.
La gestion maintenance a démarré au Japon qui avait adopté certaines méthodes de maintenance venues des États-Unis en 1950 dans des sens tels que le préventif ou le curatif. Puis vers 1960-70, l'idée de maintenabilité est apparue. L'année 1970 a fait apparaître la "Total Productive Maintenance" (TPM) en tant que système global.
Être une entreprise idéale c'est diminuer les pertes, supprimer les incidents et les défauts en production, mais aussi dans les services tels que la maintenance, les achats et les contrôles. Dans cet objectif, des méthodes ont été conçues telles que la TPM pour Total Productive Maintenance. Les mouvements accompagnant la TPM sont souvent le zéro défaut, le 5S, le TQC.
Ce rapport, qui a pour but d'expliquer la méthode et sa mise en place par un exercice de présentation, est issu de livres ou de documents d'entreprises relatant le sujet et ses applications.
[...] Améliorer en permanence les techniques de maintenance. Participer à la conception de nouveaux équipements. Les actions curatives : Echanger les informations avec les opérateurs de production lors du dépannage. Prendre en compte l'historique des pannes et le documenter. Réparer les machines en panne. Diagnostiquer les causes de pannes et micro-arrêts. Définir les modes de diagnostic des causes de micro-arrêts. Définir et mettre en œuvre les solutions pour éviter la récurrence des pannes. [...]
[...] Les causes de ces durées de non-productivité ont été spécifiées précédemment. Nous pouvons donc mettre en évidence les mesures suivantes : - temps requis ou temps d'ouverture - temps brut de fonctionnement (temps requis panne et réglage) - temps net de fonctionnement (temps brut écarts de performance des moyens) - temps utile (temps net non qualité,rebut,retouche ) Ces mesures nous permettent de déboucher sur ce que l'on appelle le taux de rendement synthétique (TRS) à travers les indicateurs suivants : - l'indicateur qui fournit les informations sur le taux de fonctionnement de la machine (indice de fiabilité) est le MTBF (Mean Time Between Failure) ou temps moyen de bon fonctionnement (plus littéralement : temps moyen entre deux pannes). [...]
[...] - Matériel, car par la participation de tous, il y a une diminution de la non-qualité. La TPM repose sur l'implication et la participation du personnel de production et de la maintenance pour l'amélioration de la performance des équipements. C'est l'observation de la réalité. La démarche consiste en la mise en place d'indicateurs qui permettent de trouver les causes de dysfonctionnement et à la mise en œuvre des solutions pour réaliser un transfert de compétences vers le personnel de production et pratiquer une maintenance appropriée. [...]
[...] - Petit investissement pour la mise en route et la formation. - Organisation précise entre les acteurs avant le lancement. LA DEMARCHE choix du site pilote ( secteur presses) : Secteur important, prioritaire, pilote. nettoyage initial du secteur (par la méthode 5S) remise en état, mise en place des règles du préventif de 1er niveau. formation à l'auto maintenance et à l'entretien par le service maintenance. mise en place de document d'aide au relevé d'information. indicateur avec TRS, rebut, gestion de l'arrêt. mise en place des documents pour l'auto maintenance. [...]
[...] Mettre en place les actions : En concertation avec tout le monde, on lance les actions possibles de remise en état. Etablir les règles : C‘est établir les règles de remise en état et les règles d'intervention de maintenance de premier et deuxième niveau. On établit aussi les règles d'entretien. Formation : Formation des opérateurs à l'entretien et à la maintenance de premier niveau. Suivi des actions correctives et des indicateurs de production : Savoir faire vivre les indicateurs et le groupe de travail pour toujours être dans une dynamique de progrès. [...]
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