Cours de génie industriel et de maintenance.
[...] (voir exemple de fiche en fin de leçon). Les principaux modes de défaillance La "santé matière" Ce type de défaut constitue une initiation de défaillance lorsqu'ils ne sont pas détectés lors des contrôles qualité. Défauts contractés lors de l'élaboration de la matière : - retassure (ou tapure) consécutive au refroidissement de la matière obtenue en fonderie, - tensions internes dues à un formage (problème plus sensible en formage à froid qu'à chaud). Défauts apparus lors de l'élaboration de la pièce finie : - écrouissage d'usinage, - surchauffe de soudure, - tapure de traitement thermique. [...]
[...] La corrosion électrochimique Elle affecte les métaux (principalement le fer) en milieu aqueux. La corrosion atmosphérique entre dans ce cadre, l'eau étant dans ce cas en suspension dans l'air. Deux réactions se déroulent simultanément : Fe ( Fe2+ + 2e 2H+ + 2e ( H2 Les ions ferreux se retrouvent en solution dans l'eau. La corrosion galvanique relève du même principe, lorsque deux métaux de potentiels électrochimiques différents sont en contact ou en atmosphère conductrice. La corrosion par aération différentielle est une variante: les zones fortement oxygénées (riches en O2) sont les anodes et les zones pauvres les cathodes. [...]
[...] Les plus couramment utilisés sont en n et en . Elles font apparaître la caractéristique 20 - 80 des types de défaillance représentent 80% du nombre total de pannes ou du temps passé en maintenance corrective). Cette courbe permet de déterminer un ordre de priorité d'actions de maintenance d'amélioration, dirigés sur les modules les plus pénalisants. Recherche de la courbe "en baignoire" : l'actuariat Cas d'utilisation La courbe en baignoire visualise l'évolution de taux de défaillance global pendant le temps de service, ainsi que les de chaque module fonctionnel. [...]
[...] Connaissance d'une défaillance Etat d'un système La modélisation de Markov indique trois états possibles pour un système : bon fonctionnement mode dégradé panne Analyse d'une défaillance Causes : - processus intrinsèque (recherche du mode de défaillance), - imputation extrinsèque : accident (choc), mauvaise utilisation (surcharge par exemple), environnement non conforme, mauvais entretien, défaillance seconde (consécutive à une première), autres . Manifestation : - caractère fugitif ou permanent, - vitesse d'apparition: progressive ou soudaine (par dégradation ou catalectique). Amplitude : - partielle (mode dégradé), - complète (perte de fonction). Identification et aptitude à être détectée : - nature (mécanique, hydraulique, électrique, électronique, pneumatique . - situation : espace (localisation), temps (date, nb d'unités d'usage), surveillance préventive (capteurs, inspections . Criticité : Remèdes : ils seront déterminés par expertise de la défaillance. [...]
[...] Dès que cette dépression s'affaiblit, la poche implose, soumettant la matière du corps tournant à de fortes contraintes mécaniques et thermiques. Rmq.: un technicien de maintenance n'a pas à maîtriser toutes les formes de corrosion. Cependant il doit identifier qu'une défaillance provient d'un tel phénomène, de façon à faire appel à un spécialiste (provenant souvent d'un milieu plus "chimie" que "mécanique"). Le taux de défaillance Définition Le taux de défaillance est un indicateur de la fiabilité. Il est de la forme : Ce taux exclut les défaillances extrinsèques à l'ensemble analysé. [...]
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