La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières des "risques sociaux". Il s'agit de situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l'individu ou de sa famille, en provoquant une baisse de ses ressources ou une hausse de ses dépenses : vieillesse, maladie, invalidité, chômage, maternité, charges de famille, etc.
Elle repose sur deux types de mécanismes essentiellement : les prestations sociales qui sont versées directement au ménage, et les prestations de services sociaux qui désignent l'accès à certains services fournis à prix réduit ou gratuitement.
[...] C'est une situation qui n'est pas soutenable durablement. Deux solutions s'offrent à cette réforme : soit d'augmenter les cotisations (tels que la CSG) soit de réduire l'offre de prestations (tels que les médecins traitants, les génériques etc.) Cette réforme risque la révolte des citoyens ainsi qu'une injustice entre les travailleurs et les non travailleurs Ensuite, nous avons pensé à la création d'une CVA (contribution sur valeur ajoutée), soit de taxer sur l'ensemble travailleurs + machines plutôt que de taxer seulement sur l'emploi. [...]
[...] Troisièmement, on trouve l'UNEDIC (Union nationale pour l'Emploi dans l'industrie et le Commerce) qui gère le régime d'assurance-‐chômage. Enfin, une aide sociale relevant de l'Etat qui apporte un soutien aux plus démunis. Attardons nous dès à présent sur la situation actuelle de la protection sociale en France PREMIÈRE PARTIE . LA SITUATION ACTUELLE DE LA PROTECTION SOCIALE EN FRANCE Les prestations sociales désignent tous les prestations en espèce (indemnités journalières, par ex.) ou en nature (financement direct de services ou remboursement) que les institutions de protection sociale versent aux bénéficiaires. [...]
[...] En effet, depuis plus de 30 ans, les dépenses de la protection n'ont cessé d'augmenter. En gardant ce rythme, la France ne pourra plus proposer un système efficace sans courir à une catastrophe économique. C'est pourquoi il semble indispensable de nos jours de procéder à une réforme profonde de la protection sociale pour que les français puissent encore en disposer dans quelques années. Qu'elle est alors la nouvelle architecture que doit adopter la France concernant sa protection sociale si elle souhaite sauver son modèle d'Etat providence ? [...]
[...] BAISSE COÛT DU TRAVAIL COMPÉTITIVITÉ DES ENTREPRISES Ou alors on peut encore taxer les producteurs et/ou distributeurs d'alcool et de tabac ; Réduire les frais de gestion (on rappel le montant de 37,5 milliards d'euros dépensés en 2009) ; ou encore lutter contre les fraudes. Mais finalement qu'en de la réforme des retraites ? En parallèle, avec l'allongement de la durée de vie, le départ à la retraite reste toujours au même âge. Les solutions abordées et que l'ont devrait cautionner sont éventuellement le recul de l'âge de départ à la retraite, soit augmenter les cotisations ou éventuellement cotiser à une retraite complémentaire obligatoire pour tous. Qu'en de la privatisation de la Protection sociale ? [...]
[...] Ces prestations constituent une des formes de la redistribution des revenus, et représentaient, en du PIB. De nos jours, on doit distinguer six catégories de prestations correspondant à autant de risques : Le risque vieillesse-‐survie qui est le plus important car il représente 45% des dépenses en 2009 en raison du poids des retraites, Le risque santé qui inclut la maladie, l'invalidité, etc. et qui représentait cette année là des prestations, Le risque maternité-‐famille qui inclut les prestations familiales et représentait des prestations, Le risque emploi (indemnisation du chômage) qui en représentait Le risque logement soit des prestations, Le risque d'exclusion sociale qui constituait des prestations Comment est alors financé cette protection sociale de nos jours ? [...]
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