Stratégies bancaires, instabilité financière, réglementation, économie mondiale, crises économiques, Bâle 3, shadow banking, crédits, effet de levier, effet domino, liquidité
Depuis les années 80, on constate la montée de l'instabilité financière, sans conteste un élément marquant de la période récente. L'économie mondiale a été, au cours des dernières décennies, frappées par une multitude d'épisodes de crises bancaires systémiques comme chronologiquement la crise des économies d'Amérique latine, des économies en transition, des économies d'Amérique Centrale et finalement des économies asiatiques en 1998.
[...] Bulle financière se caractérise par l'écart entre la valeur fondamentale et la valeur de marché : si les agents ont suffisamment de fonds pour spéculer. Se caractérise par la distribution excessive du crédit. - Transversale : s'intéresse à la répartition du risque systémique entre les institutions financières. Interdépendances entre banques qui peuvent créer des effets domino/de contagion. On observe également la réaction des banques à des chocs communs, ex si demain les MF perdaient de leur valeur. Cf stress tests. Les banques peuvent être individuellement stables et conduire les autres entités ex ante stables à devenir ex post instables. [...]
[...] Les agrégats du crédit peuvent engendrer la création de bulles financières. Avant la crise fi on pensait que des institutions individuellement stables concourraient mécaniquement à la stabilité systémique. Vrai seulement si les parties sont indépendantes les unes des autres. Qd on a de la dépendance entre les IF, alors le tout la somme des parties. Pour le syst bancaire, on ne retrouve pas l'effet positifs de diversification (cf théorie de portefeuille) puisqu'en période de crise l'ensemble des banques vont être corrélées. [...]
[...] Les banques distribuent bcp de crédit immo. c. Ratio de levier (Bâle III), les bqs doivent respecter un ratio de levier de ratio prudentiel permettant de réguler l'économie. d. Plafonnement des ratios prêts/valeur prêts/revenus dettes/revenus ou services de la dette/revenus = réduction de la croissance du crédit immédiate, efficacité rapide et qui peuvent être mep immédiatement La régulation macroprud vise également à atténuer une asymétrie d'échéances et une illiquidité excessive des marchés. Les asymétries de maturité peuvent conduire à des ventes forcées a. [...]
[...] Conduit le syst bancaire à devenir moins compétitif. Cette baisse compét peut favoriser le financement direct via les marchés ET soutenir le développement du shadow banking (« banque de l'ombre », « intermédiation non régulée ») depuis 2008. « Secteur bancaire parallèle ». C'est une intermédiation de crédit qui implique des entités ou des activités effectuées en dehors du syst bancaire parallèle. Les réglementations sont de moindre importance que la rég bq. Conception étroite : entités non régulées = « syst bancaire de l'ombre » Conception large : entités régulées ou pas = « système bancaire parallèle » Les caractéristiques suivantes permettent de reconnaître une IF appartenant au shadow bk : 1. [...]
[...] Coût du KP = coût pondéré des ress financières = coût des FP (rendement des actionnaires) + tx int Actionnaire demande plus de rendement qu'un créancier et en cas de faillite ce sont les créanciers qui sont de 1er rang. En augmentant les exigences en K des bqs, on augmenterait le coût du K des bqs. Sachant que le coût du K correspond à la moyenne pondérée de la dette et du coût des fonds propres (renta qu'exigent les actionnaires pour apporter du KP à l'ese). Coût du K = poids des actions * Rentabilité exigée par les actionnaires – coût de la dette * renta des dettes (ti). [...]
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