Finances publiques, économie de marché, Musgrave, défaillances économiques, intervention publique, marchés concurrentiels, politiques keynésiennes, pensée marxiste, planification soviétique, dépense publique
Concernant le mode de coordination des activités économiques, il faut coordonner toutes les intentions des acteurs (acheteurs, offreurs...) au niveau de la production (biens et services), consommation, investissement, importations... Comment on arrive à se coordonner avec des acteurs aussi divers que nombreux ? Pour satisfaire l'ensemble de ces besoins, on a deux systèmes. Tout d'abord, l'économie planifiée qui est un mode de coordination que l'on qualifie de "centralisé" qui a existé au 20e siècle (1920-1990) et a existé à l'est de l'Europe (''URSS jusqu'en 1991 lors de l'éclatement de l'URSS). C'était un système ambitieux puisque la planification était impérative (donc des ordres et consignes à respecter sinon sanctions), l'économie était vue comme un système programmable à l'avance via 3 étapes et des plans quinquennaux (essentiels des objectifs à atteindre en 5 ans).
[...] Finance publique Introduction : §1 Un sujet permanent de débat idéologique et politique en économie de marché Précisions sur l'économie de marché 1. L'opposition « économie de marché » / « économie planifiée » Le mode de coordination des activités économiques, il faut coordonner toutes les intentions des acteurs (acheteurs, offreurs . ) au niveau de la production (biens & services), consommation, investissement, importations . Comment on arrive à se coordonner avec des acteurs aussi divers que nombreux ? Pour satisfaire l'ensemble de ces besoins on a deux systèmes : → l'économie planifié : mode de coordination que l'on qualifie de « centraliser » qui a existé au 20ème siècle (1920-1990) et a existé à l'est de l'Europe (l'URSS jusqu'en 1991 lors de l'éclatement de l'URSS). [...]
[...] Et au niveau de la santé l'externalité positif est bien présente dans notre société moderne et on y voit un bénéfice privé (les personnes sont soignées) et également un bénéfice social (plus de gens vacciné découle de moins de gens malade). Cette gestion des externalités est faite par intervention de l'état même si cela ne relève pas du marché. Soit par subvention (comme au niveau de la santé) soit dans l'autre sens pour les externalisation négative en mettant des impôt (comme par exemple avec la taxe carbone etc . [...]
[...] Le commiseriat au plan ou « gosplan » (administration centrale) est chargé de mettre en place cette organisation (=beaucoup de rôle et de responsabilité surtout si il y a des erreurs de planification → sanctions). → l'économie de marché : dite « décentralisé » le pouvoir est repartie entre des millions de gens qui prennent des décisions, on parle de « coordination horizontale ». Il y a une absence de pilotage central, il n'y a personne qui joue le rôle de commissaire au plan et qui coordonne. Ce systeme fonctionne car le pouvoir est completement dispersée entre plusieurs acteurs qui part leurs décisions quotidiennes (nourriture, habillement . ) ou exceptionnelles (achat voiture, appartement . [...]
[...] Première exemple déficit des administrations publiques au sens de Maastricht. Les administrations publiques c'est : - Les administrations centrales (budget du ministère, de l'état et d'autre organisme divers public ; comme les facs), impôt national. - Les administrations locales (la commune, l'intercommunalité, les départements et les régions), impôt local. - Les administrations de sécurités sociales (les caisses d'assurance maladie, vieillesse, chômage) financé par des cotisations sociales obligatoire. L'INSEE a corrigé ces stats par rapport à la base (niveau des prix de 2010). [...]
[...] Le marché est défaillant dans la production des biens collectifs, dans le gestion des externalités et dans la régulation des monopoles naturels La production des biens collectifs Un bien collectif s'oppose à l'idée de bien individuel. Bien collectif (pur) : – il est consommé simultanement par plusieurs personnes/agents sans que le volume consommé par l'un de ces individus diminue les volumes disponibles pour la consommation des autres. On parle de critère de non rivalité. – on ne peut pas selectionner les consommateurs en leur faisant payer un prix, comme il n'y a pas de prix on ne peut exclure personne. On parle de critère de non exclusion des consommateurs. [...]
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