Les décisions éventuelles de la Banque centrale européenne d'augmenter les taux d'intérêt risquent d'avoir des effets récessifs sur l'économie des pays européens. La croissance pourrait être diminuée, la baisse du chômage, ralentie et l'atonie de l'investissement maintenue malgré les innovations technologiques actuelles.
A cet égard il est intéressant de se demander si « la baisse des taux d'intérêt suffit à une reprise de l'investissement ». Le taux d'intérêt mesure le pourcentage annuel de l'intérêt sur la somme empruntée. En effet en cas d'emprunt le préteur fait confiance à l'emprunteur en se privant temporairement de liquidité : le prix à payer pour cette confiance est l'intérêt qui vient augmenter le montant à rembourser (...)
[...] Nous voyons que la baisse du taux d'autofinancement des entreprise en France de 1970 a 1982 s'est doubler d'une baisse du taux d'investissement. L'explication en est la faiblesse de l'EBE, représente par le taux de marge. Souvent, l'entreprise n'a pas suffisamment de ressource propres; elle peut alors emprunter auprès des banques, ou sur le marché financier en émettant des obligations. Dans une situation ou les taux d'intérêt sont élevés, il est plus avantageux d'avoir recours a l'épargne. En effet si l'entreprisses emprunte le niveau des taux d'intérêt est susceptible de jouer a divers moment du mécanisme d'investissement. [...]
[...] Depuis 1990, taux d'intérêt et taux d'investissement ont tous deux diminués. De plus entre 1986et 1990 les taux d'intérêt atteignent les niveaux les plus élevé de la période considéré mais le taux d'investissement gagne tout de même 2 points. Cela peut s'explique non seulement par la restauration des taux de marge mais aussi pas la forte croissance annuelle en volume de la consommation des ménage, favorisant d'ailler a sont tour la progression des taux de marges. On se rappelle aussi que, de 1986 à 1990, la croissance a connu un reprise. [...]
[...] Le taux d'intérêt mesure la peur des individus. En situation d'incertitude, ils exigent une rémunération élevée pour renoncer a leurs préférence pour la liquidité. L'épargne résulte de la distribution des revenus eux même détermines par la consommation et l'investissement. Cependant ces deux courant théorique s'accordent pour reconnaître qu'un faible taux d'intérêt est plus favorable a l'investissent qu'un taux élevé. Selon Keynes la politique monétaire doit offrir suffisamment de liquidité pour maintenir ce taux a un niveau faible Pour les classique l'épargne des ménages et surtout des entreprise garce a leurs profits doit permettre d'assurer ce niveau. [...]
[...] A cet égard il est intéressant de se demander si la baisse des taux d'intérêt suffit à une reprise de l'investissement Le taux d'intérêt mesure le pourcentage annuel de l'intérêt sur la somme empruntée. En effet en cas d'emprunt le préteur fait confiance à l'emprunteur en se privant temporairement de liquidité : le prix a payer pour cette confiance est l'intérêt qui vient augmenter le montant à rembourser. L'investissement productif est réalise par les entreprise. Au niveau matériel il correspond à l'achat de capital productif fixe. [...]
[...] La faible demande et la pression des actionnaires empêchent actuellement une baisse des taux d'intérêt de jouer en faveur de l'investissement. Nous avons donc constaté l'avantage qu'il y a a offrir de faibles taux d'intérêt pour motiver la décision d'investir. Constituant un cout pour les entreprises, des taux élevé peuvent limiter leurs achats de capital fixe en élevant leur seuil de rentabilité. Cependant dans certains contextes macroéconomiques le taux d'intérêt a en fait peu d'impact sur la décision d'investir. Aujourd'hui les rentiers sont devenue décideurs a la place des capitaines d'industrie: la finance vampirise l'économie réelle. [...]
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