Présentation des auteurs :
Bruno Jarrosson, né en 1955, est Ingénieur Supélec.
Il a été Ingénieur d'études en électronique pendant huit ans, puis chef de projet à l'association Progrès du Management, pendant neuf ans. Il est actuellement directeur associé du pôle stratégie chez Atlantic-Intelligence.
Il enseigne la philosophie des sciences à Supélec, la théorie des organisations à Paris IV Sorbonne et coordonne l'enseignement Humanisme et modernité à l'Ecole Centrale.
Francis Olivier est le Président de la société ATRIA CAPITAL PARTENAIRES.
Marc de La Chapelle est né en 1967, il est aujourd'hui Président d'une grande société française.
Résumé du livre :
Une bonne gestion devient une question de survie dans un monde de plus en plus turbulent, où le mouvement devient la norme, où les marchés deviennent mondiaux, où les secteurs sont en forte croissance et d'autres en récession, une bonne gestion devient une question de survie. Une stratégie financière radicale est cruciale car elle permet une bonne visibilité sur les actions à mener ou à éviter. Néanmoins, le risque et le jeu occupent une part importante dans le management de l'entreprise.
[...] Il éclaire les rapports du pouvoir et de la finance en distinguant bien les contraintes de la stratégie. Une petite chose que je pourrais néanmoins reprocher à cet ouvrage, c'est qu'il ne diversifie pas beaucoup ses sources d'illustration, puisqu'il se réfère tout au long des chapitres au cas la même entreprise, Sidel, qui fabrique des machines de production de bouteilles en plastique. Je ne conteste pas le fait que cette entreprise éclaire bien les propos théoriques de l'auteur, mais il me semble que c'est un cas qu'on peut difficilement généraliser, puisqu'elle a connu le succès à la fois au niveau national qu'international, ce qui n'est pas le cas pour toutes les entreprises, qu'elles soient françaises, marocaines ou autres Qu'en est-il alors des très petites, petites et moyennes entreprises (TPE et PME) qui n'arrivent pas à connaitre le même succès et qui peinent à survivre au niveau national voir même régional ? [...]
[...] Le réflexe de sécurité consiste à faire en sorte que la durée de disposition des fonds soit supérieure à la durée de leur récupération. Les capitaux propres sont disponibles pour une durée illimitée et les dettes ont des échéances connues. Parallèlement, la durée de récupération des fonds se mesure par le rapport entre les capitaux engagés et la marge brute d'autofinancement. C'est le temps que l'entreprise mettrait pour reconstituer une richesse équivalente aux capitaux engagés. Il ne faut pas financer les emplois à long terme par des ressources à court terme. Et les capitaux engagés doivent être financés par des capitaux permanents. [...]
[...] La stratégie financière a pour objectif essentiel d'éclairer les décisions que le management doit prendre. En résumé, un dirigeant compétent doit être un bon gestionnaire et connaître les règles du jeu. II/ Etude des leçons proposées Les réflexes de la stratégie financière En matière de stratégie financière, il y a les réflexes et les techniques. Avec de bons réflexes, un dirigeant peut mener son entreprise au succès, alors que la technique à elle seule peut conduire l'entreprise vers une impasse. [...]
[...] Marc de La Chapelle est né en 1967, il est aujourd'hui Président d'une grande société française. Résumé du livre Une bonne gestion devient une question de survie dans un monde de plus en plus turbulent, où le mouvement devient la norme, où les marchés deviennent mondiaux, où les secteurs sont en forte croissance et d'autres en récession, une bonne gestion devient une question de survie. Une stratégie financière radicale est cruciale, car elle permet une bonne visibilité sur les actions à mener ou à éviter. [...]
[...] Les attraits et les atouts L'auteur décrit deux nouveaux paramètres qui sont à la base de la matrice BCG : la part de marché et la croissance du marché. La première peut constituer un atout pour l'entreprise tandis que la deuxième représente un attrait. L'étude de cette matrice, quoique qualifiée de simpliste, est l'une des premières bases de la stratégie financière. Le Décideur doit alors avoir une vision prospective de ces attraits et atouts, il doit pouvoir déterminer les atouts à acquérir et les plans d'actions prioritaires à déployer vers certains attraits bien visés. [...]
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