La valorisation financière a pour but de déterminer la valeur financière d'une entreprise. C'est une étape incontournable pour une prise de participation, une acquisition ou une cession.
Cependant, il s'agit d'un processus complexe en raison des nombreux éléments qui entrent en compte. En effet, il faut théoriquement considéré tous les éléments disponibles tels que la potentialité du marché, les barrières à l'entrée du marché, les facteurs clés de succès, le développement futur de la société, le président et ses cadres dirigeants. Ainsi, un diagnostic stratégique de la société sera toujours un bon complément.
[...] En revanche, pour les actions le seul revenu de l'investisseur sera le dividende s'il est versé puisque certaines sociétés réalisent des pertes et d'autres préfèrent favoriser leur croissance interne en réinvestissant les bénéfices. L'épargne des investisseurs ; l'investisseur n'à bien sur pas pour unique but de contribuer au développement des sociétés, il souhaite gagner de l'argent. Concrètement, le marché boursier est divisé en deux pour répondre à ses deux attentes : Le marché primaire, primaire permettant la rencontre entre les sociétés qui souhaite financer leur développement et les investisseurs. C'est donc sur ce marché que se réalise la première mise en vente des titres proposés par la société. [...]
[...] Cette loi de l'offre et de la demande dépend directement de la santé et surtout de la communication des sociétés. Lorsque la demande est supérieure à l'offre le cours d'une valeur aura tendance à augmenter, car pour acheter la demande sera prête a payer plus cher pour être servie .De la même manière, si l'offre est supérieure à la demande le cours aura tendance à baisser : pour vendre les offreurs consentiront à un prix inférieur. La roue de la fortune Grâce à la bourse nombreux sont ceux qui ont fait fortune comme Warren Buffet qui n'était qu'un simple courtier à la base ou bien Georges Sorros qui vendit à découvert 10 milliards de livres en pariant sur la baisse de cette devise. [...]
[...] Dans ce cadre-là, elle contrôle également la publication des informations des sociétés. Ces informations doivent être complètes et de qualité, mais surtout publiées à des dates précises. Le but premier de ces organismes et d'assurer le bon fonctionnement du marché, mais surtout de protéger l'épargne des investisseurs. Fonctionnement Aujourd'hui, il existe deux types de règlements des titres en bourses, le règlement comptant et le SRD ou Service de Règlement Différé. Alors que lors d'un achat au comptant, l'achat est directement débité du compte bancaire et le titre directement dans le portefeuille titre de l'investisseur, lors d'un achat au SRD la somme n'est pas directement prélevée du compte bancaire alors que le titre appartient à l'investisseur. [...]
[...] Structure du marché français Depuis 2005, il existe un marché unique, l'Eurolist : toutes les sociétés y sont classées quelque soit leur taille et répondent ainsi aux mêmes obligations de publication des résultats et d'introduction en bourse. Ce marché unique est cependant divisé en trois catégories qui permettent de classer les sociétés en fonction de leur taille boursière c'est-à-dire leur capitalisation boursière : L'Eurolist A pour les blue chips qui ont une capitalisation supérieur à 1 milliard d'euros. C'est sur ce secteur qu'Eximium investissait. L'Eurolist B pour les valeurs moyennes entre 150 millions et un milliard d'euros. [...]
[...] Le coût des capitaux propres peut se calculer de la manière suivante : K = rf + Bêta (rm - rf) + Prime Avec rf = taux sans risque (généralement le taux des obligations d'État à 20 ans) rm-rf = prime de risque de marché Bêta = β mesure la sensibilité au risque systématique (non diversifiable) et dépend de la structure financière Prime = prime liée au pays ou à la liquidité Ainsi, avec le taux d'actualisation il est désormais possible d'actualiser les flux de trésorerie disponible à leur valeur actuelle : Avec : k = CMPC La dernière composante de la méthode DCF est la valeur terminale ou finale de l'entreprise. Il s'agit de la valeur de l'entreprise au terme de la période étudié (année n). Cette valeur terminale est donc complexe à évaluer puisqu'elle se situe à une date où les prévisions sont le plus éloignées et donc le moins pertinentes. La valeur terminale peut être calculée elle aussi de plusieurs manières soit grâce à la méthode des multiples en appliquant un multiple aux résultats de la dernière année prévisionnels (horizon explicite). [...]
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