Le risque de marché lui existe dés qu'un portefeuille est exposé aux fluctuations de paramètres marchés, il englobe non exhaustivement, le risque de taux, de prix des matières première du cours des actions, obligations (...)
[...] C'est ainsi que le Maroc, depuis la fin du siècle dernier, a entrepris plusieurs mesures en vue de crédibiliser son système financier, et d'harmoniser ses lois avec les recommandations mondiales. L'ensemble de ces contraintes réglementaires a mis en exergue le besoin de se constituer un matelas de fonds propres suffisant pour exercer des activités bancaires. La transformation des fonds propres en véritable pierre angulaire de toute l'activité bancaire a fait prendre conscience aux différents protagonistes que cette ressource était rare et chère et qu'il fallait donc savoir la gérer. [...]
[...] Ceci dit, la compétence en affaires, est un point à considérer autant que la moralité du client. La fortune personnelle du client : (surface) La surface du client est l'expression de sa fortune, c'est à dire, son patrimoine mobilier et immobilier. Elle offre au banquier un apaisement car, elle est en elle même une garantie puisqu'elle est appréciable sans être grevée de privilèges importants la connaissance de l'entreprise : Les banquiers se basent dans leurs études sur les documents comptables et sur les renseignements communiqués par le client ainsi que sur les rapports de visites du directeur d'agence et les enquêtes effectuées par les services compétents. [...]
[...] Ainsi, cette situation de risque commercial peut entraîner le mécontentement de la clientèle habituée à plus de souplesse. Les mêmes inconvénients peuvent être le fruit d'une politique de prudence excessive de la banque : - Le mauvais emploi des ressources entraîne une rentabilité médiocre et un manque à gagner ; - En outre, l'exagération dans les exigences et la sévérité des banques au consentement des crédits, engendrent le mécontentement de la clientèle. Ainsi donc, le banquier doit se mettre au juste milieu pour doser ses risques commerciaux afin d'optimiser sa rentabilité avec le maximum de sécurité. [...]
[...] L'enregistrement de cet acte n'est pas obligatoire. D'une manière générale et dans la pratique bancaire, le cautionnement se présente toujours sous la forme écrite (acte de garantie). Ce qui nous ramène à dire que le banquier qui demande un cautionnement cherche tout simplement à éviter des concours qui pourrait être dangereux en cas de faillite du débiteur principal parce que le banquier est un commerçant, il cherche non seulement couvrir ses frais mais encore à s'assurer une marge. 2-L'aval : L'aval n'est qu'une forme particulière de cautionnement, étroitement lié à la notion de personne. [...]
[...] En d'autres termes, le banquier tend à obtenir le maximum de profit par l'accroissement du volume de ses concours. En parallèle, la réalisation du profit doit correspondre aux possibilités de trésorerie de la banque et, respecter les règles imposées par les autorités de tutelle. Ainsi donc, une mauvaise prévision de l'évolution de distribution des crédits met le banquier face à 2 risques : -Un risque commercial et, -Un risque de pénalisation le risque commercial : Les autorisations de crédit peuvent s'accroître sans conséquences immédiates lorsque la trésorerie des banques est aisée. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture