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Dans les marchés financiers, seulement deux choses sont achetées : un contrat (obligation) ou un titre de propriété. C'est ce dernier qui nous intéresse ici. L'action est un titre financier dont la réception ou perception de flux est incertaine. C'est officiellement une prise de risque en étant partie prenante dans l'aventure d'une entreprise avec les avantages (ex. : bénéfices élevés si la société croit à l'avenir) et les inconvénients (risque de perte de capital). En théorie, le détenteur d'une action a un contrôle via le droit de vote lié à l'action. Pour toute action, il existe un droit de vote qui est la contrepartie du risque pris par l'actionnaire. Il existe à contre-courant de la norme des actions de préférence qui garantissent un versement de flux financiers et revenus annuels contre l'abandon du droit de vote et du contrôle administratif.
[...] Qu'est-ce que la gestion indicielle ? Il s'agit d'une méthode d'investissement (popularisée par Blackrock notamment) qui consiste à acheter tout le marché au travers d'ETF* sans se soucier du contenu. L'ETF (exchange traded fund) appelé également tracker est un fonds indiciel qui essaie de suivre le plus strictement possible l'évolution d'un indice boursier. Ainsi au travers d'ETF, on peut acquérir intégralement le marché des valeurs technologiques américaines NASDAQ sans se préoccuper du contenu. Risques de la gestion indicielle (schéma) ? [...]
[...] En effet, ce sont des actifs intangibles au contexte économique. En cas de forte chute des marchés boursiers, l'action Coca-Cola ou McDonald's sera modérément impactée, car la production en quantité « d'un Coca-Cola ou d'un burger » demeure relativement équivalente et peu impactée par la chute des marchés boursiers. Par ailleurs, il distingue deux types d'action : les actions dites capitalistes qui n'ont aucun lien avec les gouvernements (Danone, Air Liquide, LVMH). La politique de production est indépendante de l'État (le contre-exemple parfait est le groupe Renault). [...]
[...] Conclusion Le marché actions ne peut donc être ignoré par les gérants de portefeuille ; il est une alternative voire un allié selon la configuration du portefeuille aux actifs émanant du marché obligataire. La solution réside dans la faculté à extraire le meilleur des deux marchés en fonction du contexte des marchés financiers et des attentes de la clientèle (même cette dernière aspire généralement au même objectif à savoir enrichir son patrimoine à terme). Comme nous l'avons constaté au cours de notre démonstration, nous sommes dans une ère où le coût de l'argent n'est plus fixé par les marchés financiers, mais par des corporations qui altèrent le prix de l'argent. [...]
[...] En quoi le marché actions est-il une valeur ajoutée pour la composition de notre portefeuille ? Définition Dans les marchés financiers, seulement deux choses sont achetées : un contrat (obligation) ou un titre de propriété. C'est ce dernier qui nous intéresse ici. L'action est un titre financier dont la réception ou perception de flux est incertaine. C'est officiellement une prise de risque en étant partie prenante dans l'aventure d'une entreprise avec les avantages (ex. : bénéfices élevés si la société croit à l'avenir) et les inconvénients (risque de perte de capital). [...]
[...] Par conséquent, les values sont des actifs de qualité sur la base du contexte énoncé initialement, car la majorité est de nature anti-fragile. Bien que fiable dans cette configuration, une sélection est nécessaire, car l'intégralité des values n'est pas « saine ». Par exemple, les banques commerciales et compagnies d'assurance sont catégorisées dans les values. Or, nombre d'entre elles opérant dans la zone euro sont sous perfusion de liquidités de la Banque centrale européenne via les TLTRO (targeted long-term refinancing operations). [...]
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