Contrairement aux emprunts classiques, il n'y a ni capital à rembourser, ni intérêts à payer. Les capital-risqueurs apportent des fonds propres et deviennent donc actionnaires de l'entreprise. Ils misent sur sa rentabilité future et donc sur les dividendes qu'ils obtiendront et surtout sur les plus-values réalisées lors de la cession. Les capital-risqueurs sont apparus aux Etats-Unis à la fin des années 70 sous l'appellation Venture Capitalists, pour soutenir des entreprises dont la valeur ajoutée était essentiellement fondée sur le progrès technologique, avec notamment les start-up de la Silicon Valley ...
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