Il convient tout d'abord de rappeler que nous traitons du pays leader dans l'internationalisation des échanges et d'un moteur principal de la croissance mondiale. Même si le record de 2004 n'a pas été réédité, 2005 a été une nouvelle année de forte croissance. Investissement et exportation ont conservé leur dynamisme aux Etats-Unis. Les exportations poursuivront leur essor, profitant d'une conjoncture européenne et japonaise plus robuste. Mais leur progression ne pourra empêcher un creusement du déficit courant. L'investissement en équipements informatiques et industriels continuera à augmenter vivement, notamment dans les secteurs miniers et extractifs. La situation financière des entreprises s'est encore améliorée, mais moins nettement que par le passé, comme en témoigne la baisse du nombre de faillites en 2005 (- 2 %) et le bon niveau de l'indice Coface des incidents de paiement. La réduction des capacités de production et le maintien d'un fort pouvoir d'achat chez les ménages ont permis aux entreprises de fixer plus facilement leurs prix. Les secteurs de la chimie, de l'énergie, de l'équipement électrique, de la construction aéronautique, de l'hôtellerie ont donc pu conserver une bonne solvabilité en dépit du renchérissement de l'énergie et des matières premières. Là où la concurrence est forte comme dans l'automobile, le transport aérien, le jouet ou le meuble, la situation est restée difficile. En 2006, la situation financière des entreprises devrait se stabiliser à un bon niveau. Une légère remontée des incidents de paiement est toutefois possible en raison des effets de diffusion du refroidissement du marché immobilier.
Une notation est réalisée régulièrement afin d'étudier la solvabilité des entreprises dans le monde. Les Etats-Unis bénéficient d'une excellente note (A1) qui est due à leur situation politique et économique très stable qui influe favorablement sur le comportement de paiement des entreprises qui est généralement bon. La probabilité de défaut est très faible.
A noter également que le sous financement de nombreux fonds de pension et le renchérissement de la couverture maladie fragilisent les entreprises et par conséquent le capacité de financement
[...] En période de baisse du marché des actions, la valeur liquidative pourra être amenée à baisser. Risque en capital : Le risque que le capital investi ne soit pas intégralement restitué existe puisque l'OPCVM n'intègre aucune garantie en capital. Risque de change : Le risque de change existe du fait que l'OPCVM sera investi à hauteur de 60% minimum de son actif net dans des titres ou OPCVM libellés en USD. Risque de taux : En cas de hausse des taux, la valeur liquidative de l'OPCVM Le risque de change est le risque qui peut concerner toutes les entreprises qui travaillent à l'internationale. [...]
[...] Risques de non-paiement. Explications : Comme la procédure judiciaire américaine est complexe et coûteuse, notamment par l'assistance d'un avocat, il est toujours recommandé, tant que faire se peut, de négocier et de transiger à l'amiable avec son client, ou encore de solliciter les services d'une agence de recouvrement. Les parties peuvent aussi recourir à la médiation par le mode alternatif de règlement des litiges (Alternative Dispute Resolution / ADR), système moins formaliste et éviter ainsi le coût et la longueur des procédures ordinaires. [...]
[...] Les secteurs de la chimie, de l'énergie, de l'équipement électrique, de la construction aéronautique, de l'hôtellerie ont donc pu conserver une bonne solvabilité en dépit du renchérissement de l'énergie et des matières premières. Là où la concurrence est forte comme dans l'automobile, le transport aérien, le jouet ou le meuble, la situation est restée difficile. En 2006, la situation financière des entreprises devrait se stabiliser à un bon niveau. Une légère remontée des incidents de paiement est toutefois possible en raison des effets de diffusion du refroidissement du marché immobilier. [...]
[...] Quelle doit être la fréquence de révision de cette politique ? Est-ce que une holding aux Etat-unis serait une solution pour ne payer qu'en dollar ? Le change peut-il être source de profit ? Peut-on optimiser le contrôle des risques de change pour être plus compétitif ? Sources : http://www.creanceinfo.fr http://www.creanceinfo.fr http://www.factorem.fr/ Le Risque-pays dans la collection Que sais-je ? [...]
[...] Une notation est réalisée régulièrement afin d'étudier la solvabilité des entreprises dans le monde. Les Etats-Unis bénéficient d'une excellente note qui est due à leur situation politique et économique très stable qui influe favorablement sur le comportement de paiement des entreprises qui est généralement bon. La probabilité de défaut est très faible. A noter également que le sous financement de nombreux fonds de pension et le renchérissement de la couverture maladie fragilisent les entreprises et par conséquent le capacité de financement. [...]
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